Des faits qui aurait pu rester cachés si les médias n'en avaient pas parlé aujourd'hui.
Des policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) ont été violemment pris à partie lundi soir dans la cité des 3.000 à Aulnay-sous-Bois , lors d’une intervention sur un point de deal connu des services.
Alors qu’ils procédaient à un contrôle dans ce secteur sensible, les agents sont tombés dans un véritable guet-apens. Leur véhicule a été violemment pris pour cible par plusieurs individus, à coups de mortiers d’artifice et de projectiles. Selon une source policière, les forces de l’ordre ont essuyé des jets nourris pendant de longues minutes, dans ce qui s’apparente à une attaque organisée.
Face à cette violence, des renforts locaux et départementaux ont rapidement été dépêchés sur place. L’ensemble des effectifs a réussi à reprendre le contrôle de la situation après plus d’une heure de tension.
Source et photo : actuforcesdelordre.fr
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10 Réponses à “Violente attaque contre des policiers de la BAC aux 3000 lundi dernier”
N’avaient qu’à envoyer des spécialistes, la brigade de la police municipale de madame Maroune. 100% de réussite dans toutes les affaires de petites, moyennes et grandes délinquance
Ils arrêtent tous les voleurs, les proxénètes
A noter la super efficacité des caméras qui avait vu toute la préparation dès la veille, mais les moniteurs pensaient qu’il y avait une préparation du remake de la fête des voisins
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En 2014 on a voté pour un ancien policier, car sous Segura… Blablabla
On nous a dit très peu de caméras, la plupart en dysfonctionnement.
On a renouvelé Bruno Beschizza et Séverine Maroun en 2020, blablabla
Aujourd’hui 530 caméras, 85 fonctionnaires de police municipale, blablabla
Un centre de supervision avec 23 opérateurs, blablabla
Des chiens d’attaque, un armement quasi militaire, une camionnette pour rassurer la population, blablabla
A l’aube de repartir pour 6 ans avec ce maire.. A t’on le choix, vu ce qu’il se présente face à eux ?
Je n’irai pas aux urnes, je ne suis ni de Segura, ni de Beschizza
Tout ça c’est du pipeau, il n’y a jamais eu autant de violence sur Aulnay, et on se rappelle de la campagne électorale 2014, blablabla
Assez de blablabla, je ne veux plus les entendre
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Madame Maroun a bien reçu, dernièrement, une médaille de l’ordre du Mérite… mais le mérite de quoi, exactement ? Certainement pas celui de notre sécurité.
On s’octroie des récompenses comme ça, à la légère — ça ne mange pas de pain, comme on dit.
Un policier maire ? C’est un échec total depuis douze ans.
Je précise que je vote à droite depuis mon arrivée à Aulnay, en 1983. Je n’ai pas participé à la première élection de Monsieur Abrioux, mais j’ai toujours été fidèle à la famille gaulliste. Même si, soyons honnêtes, il n’y a plus guère de vrais gaullistes au conseil municipal.
Je suis très déçue. J’ai vraiment l’impression de m’être fait avoir.
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A la personne qui dit qu’elle n’ira pas aux urnes ! C’est grâce aux abstentionnistes que Beschizza a été élu ! 44000 inscrits il est passé avec 8000 voix ( 60% des votants majorité absolue ) ! Restez chez vous vous allez lui offrir un 3 eme mandat ou il continuera de piétiner l’opposition ( il faut regarder le conseil municipal pour s’en convaincre ) ! Aulnay ne sera plus que du béton
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« Alors qu’ils procédaient à un contrôle dans ce secteur sensible, les agents sont tombés dans un véritable guet-apens » (https://actuforcesdelordre.fr/)
– Se seraient-ils donné rendez-vous ?
La phrase « les agents sont tombés dans un véritable guet-apens » peut donner l’impression d’un scénario orchestré, comme si quelqu’un attendait leur venue, ce qui sous-entend presque qu’il y a eu rendez-vous ou préméditation…
Le problème vient de l’expression « tomber dans un guet-apens », qui suggère une embuscade organisée, et donc un minimum de coordination, côté agresseurs. Si ce n’est pas ce que l’article voulait dire, alors effectivement, la narration est maladroite, voire volontairement amplifiée pour renforcer la tension dramatique.
C’est là que réside la tromperie : l’usage abusif d’un vocabulaire spectaculaire pour faire passer un simple accrochage pour une opération de guerre urbaine. Le choix du mot “guet-apens” n’est pas neutre. Il évoque une stratégie, une embuscade, presque militaire. Et ce glissement est dangereux, car il transforme un incident en récit d’assaut, et finit par légitimer toutes les surenchères.
Ce n’est plus de l’information, c’est de la mise en scène. Et le lecteur, pris dans la tournure dramatique, confond alors réalité et fiction. Un journal qui prétend informer se doit mieux que ça.
Concernant : actuforcesdelordre.fr/
Ce site n’est pas un journal de presse reconnu, ni inscrit à la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP). Il fonctionne comme un agrégateur de faits divers sécuritaires, avec une ligne éditoriale très marquée : un focus constant sur les violences envers les forces de l’ordre, sans mise en contexte, ni contradiction, ni recul journalistique.
Plusieurs observateurs l’ont déjà classé comme proche de l’extrême droite ou de la droite sécuritaire, notamment en raison :
👉 Du choix des sujets (uniquement dans un sens),
👉 Du ton alarmiste et émotionnel,
👉 Et des sources rarement croisées.
Il est souvent relais de publications syndicales policières radicales, et fait partie de l’écosystème numérique de comptes ou sites qui nourrissent un récit victimaire autour des forces de l’ordre et hostile aux banlieues, aux jeunes, ou aux mouvements sociaux.
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Merci de ces renseignements. Nous ne pouvions passer sous silence cette intervention des forces de police dont nous avions aussi une information par un de nos lecteurs, et les seuls médias qui en parlaient, en effet, sont classés à droite voire plus. La seule chaîne de télévision qui a parlé de ces événements est cnews. Et sur Twitter, repris par l’extrême droite, en particulier un député européen du rassemblement national, propos repris sur AulnayCap.
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Avant qu’on me traite de communiste du haut de l’estrade au 1er étage, je tiens à préciser :
Mon analyse de l’article actuforcesdelordre.fr/ dénonce clairement la manipulation médiatique et les discours alarmistes, souvent associés à une droite sécuritaire voire extrême droite, ce qui pourrait sembler contradictoire avec une posture dont je me réclame « de droite conservatrice ».
Toutefois, un esprit porté vers l’ordre, la tradition ou la responsabilité individuelle peut tout à fait critiquer les récits médiatiques sensationnalistes, sans adhérer aux idées progressistes.
Ma critique porte ici sur la forme du discours (manipulation, dramatisation) plutôt que sur le fond (ex : immigration, identité, valeurs traditionnelles).
Un penseur de droite modérée, ou même conservateur, peut défendre un journalisme rigoureux, dénoncer les « excès » et la « surenchère », tout en restant critique envers certains aspects de la société (immigration, sécurité, etc.) dans d’autres textes.
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NB : Voilà le château 🎪, après ces précisions, allez-y insultez moi…
Suis-je pour vous, le fantasme d’une opposition réelle ou supposée ? C’est comme des confettis, ça met de l’ambiance.. sur « Notre Blog »
N’oubliez pas que je vous aime ❤️ .. comme vous êtes, sinon écrirais-je ?
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Dudandys, l’homme qui dérange (mais qu’on lit quand même)
La municipalité d’Aulnay-sous-Bois, si elle lit Dudandys entre les lignes, doit osciller entre irritation contenue et lecture attentive.
Voici pourquoi :
D’un côté, elle ne peut ignorer une voix aussi récurrente, cultivée, informée, capable de déjouer les éléments de langage et de pointer, parfois avec élégance, les contradictions du pouvoir local. Dudandys dérange parce qu’il écrit trop bien pour être ignoré, trop libre pour être contrôlé.
De l’autre, elle ne peut pas totalement le mépriser non plus. Ce n’est pas un opposant hargneux ou caricatural. Ce n’est pas un militant encarté. C’est pire : un esprit indépendant. Et ceux-là sont les plus redoutés. Parce qu’ils pensent. Parce qu’ils savent. Parce qu’ils parlent sans permission.
Alors, qu’en pense la municipalité ?
Elle pense que Dudandys est une épine.
Mais une belle épine.
Celle qu’on n’ose pas arracher de peur de se faire remarquer… ou piquer plus fort encore.
Car Dudandys, voyez-vous, c’est l’élégance du trouble-fête.
Il ne bloque pas les rues, il ne vocifère pas en conseil municipal — il écrit. Et dans cette ville où certains confondent la gestion locale avec une opération de communication permanente, sa plume fait l’effet d’un projecteur dans une salle de réunion trop bien éclairée : tout à coup, on distingue les regards fuyants, les contradictions, les non-dits.
On le soupçonne d’avoir des sources. D’être dans les petits papiers. Peut-être même de dîner parfois avec ceux qu’il critique. C’est dire s’il dérange.
Mais non : Dudandys ne fait partie d’aucun clan. Il plane au-dessus.
Comme un dandy, justement. Libre, impertinent, mais toujours impeccablement chaussé — même pour écraser les orteils.
Alors oui, à la mairie, on lit ses commentaires.
En réunion, entre deux échanges feutrés, certains glissent discrètement leur regard vers l’écran, guettant si le poil à gratter a posté un de ses pamphlets. On s’agace de ses formules cinglantes, on sourit à contre-cœur de ses piques, on tente de deviner derrière ce style affûté un nom. Mais de qui parle-t-il, au juste ?
Il ne prétend pas détenir la vérité,
juste éclairer d’un éclat cru
les chemins que certains empruntent en déviant, à contre-courant de l’honnêteté.
Être l’inconfort nécessaire,
le souffle piquant dans un monde trop souvent lisse.
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Un commentaire qui fait à la fois plaisir à notre blog qui accueille Du Dandy et sa prose et, bien sûr, à lui-même. 😉
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« Tiens, un fan ! Merci, mais je dois corriger un point essentiel. »
—-
Qu’on ne vienne pas me dire que mes mots fuient la caricature,
Je bois à la source de cette étincelle pamphlétaire,
Chaque phrase est un coup sec, taillé à la hache,
C’est dans cette lumière que je puise ma force.
Mépris et ignorance nourrissent mes paroles,
J’alimente ma flamme, j’entretiens ce feu intérieur.
Quand l’expression s’enchaîne et que la liberté vacille,
Ma voix monte, ma plume s’étire doucement.
L’hostilité devient mon tremplin,
Et c’est dans ce silence indifférent
Que je me suis forgé —
Comme chacun de nous, lentement façonné par le vent.
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