Conseil municipal, Politique

« Je pète les plombs! » Bruno Beschizza, fébrile, provoque des incidents au conseil municipal [MAJ]

11 juillet, 2025 à 8:25 | Posté par
"Vous êtes détestable ! j'interromps la séance !"

Cela fait assez longtemps que votre serviteur n'avait pas regardé le conseil municipal, trop devenu un espace de polémiques provoquées par celui qui devrait pourtant tenir la police des séances. Cette fois-ci, la fébrilité municipale était à son comble. Était-ce la campagne électorale qui obsède ou parce que ce conseil était le premier qui suivait les perquisitions qui auraient eu lieu dans le bureau de la première adjointe ?

Nous avons découpé en quatre parties les cinq minutes qu'ont durés ces incidents provoqués par le maire. La vidéo est à la fin de cet article.

"C'est indigne M. Siby !" : Bruno Beschizza tente une fausse attaque au conseil municipal

Cet épisode commence par une attaque de Bruno Beschizza contre le président du groupe d'opposition Oussouf Siby en l'accusant d'avoir fait la publicité d'un courrier qui alertait des conditions d'accueil des enfants dans la crèche du 11 Novembre : "C'est indigne M. Siby ! (...) quand on a la mise en cause d'agent, même quand c'est réel et qu'on retrouve ce courrier sur un blog (...) avant même qu'on ait le temps d'apporter des réponses, peut-être même dans votre sens, c'est cela qui me choque". Oussouf Siby, sur un ton posé, révèle à tous la manœuvre : "Je vous mets au défi de trouver, le courrier que je vous ai envoyé, sur les réseaux". La première adjointe ne pourra nier.

"Je pète les plombs !" : tenter la provocation pour masquer la manœuvre

Au moment où tout le monde réalise que le maire a monté une fausse attaque, Bruno Beschizza coupe la parole d'Oussouf Siby "C'est petit vos explications ! Là j'en ais assez, je pète les plombs ! (...) vous vomissez sur tout le monde ! Vous détestez les gens !" Oussouf Siby laisse dérouler cette nouvelle attaque dans le calme sans répondre à la provocation.

"Vous êtes détestable ! j'interromps la séance !" : l'incident pour masquer l'échec ?

Mais à force de se faire interrompre par le maire, Oussouf Siby demande calmement de pouvoir entamer sa réponse : "Est-ce que je peux m'exprimer ? Moi j'ai été élevé quand une personne parle, j'écoute, ensuite je prends la parole".

Le maire tombe alors littéralement sur son challenger en lui hurlant dessus : "Vous êtes détestable ! (...) vous avez dit que j'étais mal élevé ! (...) Je vous demande de vous excuser, M. Siby ! Je suis désolé, j'interromps la séance !".

Manifestement isolé, le maire finit par se rassoir

Au moment où le maire, se montrant hors de lui, déclare interrompre la séance, il se lève et commence à sortir. Or, il constate que les élus de la majorité regardent leurs chaussures et aucun n'ose le suivre… il se rassoit donc assez rapidement. Son esclandre semblait manifestement trop artificielle.

Le maire qui constate sans doute avoir poussé trop loin la comédie, tente d'exiger de faire dire à M. Siby qu'il a été bien élevé. Hélas, la scène de "bordélisation" des débats qui venait de se dérouler devant les yeux médusés de sa majorité envoyait à tous des signes bien contraires.

MAJ le 11/07 à 15h : Oussouf Siby donne des compléments d'explications utiles dans le commentaire ci-dessous. Il explique notamment les détails de l'alerte qu'il a donné suite aux graves dysfonctionnements "relevant potentiellement de maltraitance" de la crèche du 11 novembre.

9 Réponses à “« Je pète les plombs! » Bruno Beschizza, fébrile, provoque des incidents au conseil municipal [MAJ]”

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Jean-Louis Karkides | 11 juillet, 2025 à 9 h 20 min

Le fait qu’autant les syndicats que le parti d’opposition fasse une différence entre les employés communaux et la municipalité en ne dénigrant pas les premiers, mais la seconde a peut-être aussi mis de l’huile sur le feu de notre maire.

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Ça sent la fin !

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Plutôt que d’incarner l’impartialité et la rigueur attendues dans l’exercice d’un mandat exécutif local, l’attitude observée lors de ce conseil municipal semble témoigner d’une volonté de détourner l’attention d’une critique pourtant légitime, formulée par un élu d’opposition à propos des conditions d’accueil dans une crèche municipale. La provocation verbale suivie d’une interruption brutale de la séance donne davantage l’image d’une manœuvre d’évitement que celle d’une réponse politique construite et assumée…

Ce type de comportement contribue à transformer le débat démocratique en spectacle bruyant, (M. Le maire critiquant en parallèle le comportement des élus FI à l’Assemblée) où l’élévation de la voix sert à masquer les zones d’ombre d’un bilan plutôt qu’à éclairer les citoyens.

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Avec les élus de mon groupe, nous avons publié un communiqué regrettant profondément le climat tendu et indigne qui a régné mercredi soir en Conseil municipal. Le comportement de Bruno Beschizza, a une nouvelle fois démontré une conception autoritaire du débat démocratique.

Mais je souhaite ici revenir sur un point très grave abordé ce soir-là : la situation de la crèche du 11 novembre.

Au mois de mai, j’ai été alerté par une étudiante en formation d’auxiliaire de puériculture, en stage dans cet établissement. Elle m’a fait part de faits graves qu’elle a personnellement constatés, relevant potentiellement de maltraitance.

Conformément à mes responsabilités d’élu et au regard des éléments transmis, j’ai saisi officiellement le Maire par courrier, afin :
de l’informer des faits signalés, de demander l’ouverture d’une enquête administrative, de garantir protection, vérité et transparence pour les enfants, les familles et les agents.
J’ai également informé le Président du Conseil Départemental et le Préfet de Seine-Saint-Denis, pour que chacun puisse prendre les mesures nécessaires dans le cadre de ses compétences.

Par respect pour les familles, pour les enfants et pour le personnel encadrant, je n’ai à aucun moment rendu cette affaire publique. Ma démarche a été responsable, discrète, rigoureuse.

Pourtant, plutôt que de m’en parler, d’agir ou même de répondre à mon courrier, le Maire et sa Première Adjointe ont choisi la diffamation en plein conseil municipal , m’accusant injustement, pour détourner l’attention et éviter d’assumer leur propre inaction.

Je tiens à rappeler que je suis moi-même cadre territorial, au service du public depuis prés de 10 ans. J’ai trop de respect pour les agents communaux , que je rencontre chaque jour et pour les familles aulnaysiennes, pour me laisser calomnier de la sorte.

Mon rôle d’élu est clair : alerter quand il le faut, agir dans l’intérêt général, protéger les plus vulnérables. Je l’ai fait, sans polémique, en conscience et en responsabilité.

La vérité finit toujours par éclater. Je reste mobilisé pour une ville digne, apaisée et respectueuse de ses habitants comme de ses agents.

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Je crois que le son de la vidéo ne marche absolument pas, encore un coup de ces fascistes de la mairie je crois bien…

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– Critique d’une pièce ratée

Une scène qui se voulait un spectacle sérieux, mais qui n’était en réalité qu’une mise en réalisation fallacieuse d’une absurdité consternante.

Voilà une belle troupe de Zozos façon « Baraque à frites » :
Le Cul-cul Clan, qui jouait peut-être l’une de ses derniers revues — quel naufrage d’une tristesse désarmante !

Une farce grotesque où Candide, figure faussement fragile, car malgré tout est resté digne et debout, a subi un lynchage ininterrompu, jusqu’à lasser. Face à lui, Harpagon, vieux dinosaure des tréteaux, campait son rôle avec une lourdeur accablante, perdant peu à peu pied, s’accrochant désespérément à la rampe, tel un histrion usé cherchant un dernier éclat, incapable de convaincre qui que ce soit, et sans doute plus vraiment lui-même non plus.

Ce soir-là, on atteignait des sommets : un show de mauvaise foi et de rancunes mal jouées, dans un chaos amer.

Au cours de cette soirée sans éclat, à la messe des notables, la comédie se muait en un passage à tabac verbal en vaudeville de seconde zone, telle une pantomime de fin de banquet. Ce à quoi nous assistions tenait du pitoyable : coups bas, règles bafouées, scénario bancal… et mise en scène affligeante.

Quelques dizaines de figurants ringards, silencieux mais acharnés, laissaient leurs sourires en coin dessiner une rancune contenue — complices immobiles, satisfaits d’un affront muet qu’ils regardaient se jouer sans lever le petit doigt.

Quelle démonstration de bravoure ! S’acharner ainsi à tant sur un seul, c’est presque une mise en scène collective d’une cruauté feutrée. On en pleurerait, si le grotesque ne s’en était pas déjà chargé avec brio.

Un air de déjà-vu, de l’habituel… mais avec une violence accrue, impossible à ignorer ou justifier.

Une lamentation scénique, noyée dans un flot de contre-vérités, rythmée par des sourires figés et des silences coupables. Une bouffonnerie funèbre, offerte par une escouade de boulevard exténuée, presque à bout, pensant à leurs vacances toutes proches, sur la plage ou à la montagne, une troupe égarée quelque part entre deux actes, dans l’ombre d’un bar atone jouxtant les vestiges d’une démocratie fanée, nichée au creux d’un vieux château délabré.

Théâtre de fortune dressé aux marges d’une banlieue effacée, baigné par les teintes d’un ocre mourant, cette fin d’après-midi avait des allures de calme trompeur, une atmosphère douce, faussement paisible, où l’effet d’un breuvage bu à l’entracte, complice silencieux de leurs mensonges, délita les langues et brouilla les esprits.

Voilà comment un mauvais scénario est devenu une exécution publique orchestrée par des seconds rôles désuets convaincus d’incarner la vérité, une posture indigne de gens respectueux et gagnants.

À ce niveau-là, on finirait presque par payer l’entrée… pour peu qu’on nous épargne les relents de naphtaline.

« Accuser les autres de ses propres turpitudes, c’est la marque des faibles incapables d’assumer leurs erreurs. Une lâcheté aussi puante qu’indigne qui ne mérite qu’un seul verdict : le mépris total. »

———

NB : Attention, toute ressemblance avec des personnes, ou évènements présents ou passés, ne saurait être que fortuite… Ou alors vous avez un sérieux sentiment de persécution, mais rassurez-vous ça se soigne…

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Je rappellerai à Monsieur Beschizza, qui a assimilé mercredi soir le terme de « lanceur d’alerte » à de la délation, la définition exacte prévue par la loi :

Un lanceur d’alerte est une personne physique qui signale ou divulgue, de bonne foi et sans contrepartie financière directe, des faits portant atteinte à l’intérêt général (crime, délit, menace grave, violation d’une norme, etc.).

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000045388750

– Répression des représailles
La loi prévoit une liste exhaustive de mesures interdites à l’encontre d’un lanceur d’alerte, parmi lesquelles :

« Le licenciement, la rétrogradation, l’isolement, l’ostracisme, la menace ou encore l’ATTEINTE A LA REPUTATION.

➡️ ATTEINTE A LA REPUTATION, dans laquelle le maire – ancien syndicaliste policier – a littéralement plongé mercredi soir, au mépris de la loi et de la dignité.

– Sanctions encourues
Les représailles contre un lanceur d’alerte peuvent être punies de :

3 ans d’emprisonnemenT et 60 000 € d’amende civile, notamment en cas de procédures abusives ou dilatoires (procédures bâillons).

➡️ EN CAS DE CONDAMNATION : Dans l’hypothèse où Monsieur Beschizza persisterait dans un refus d’exécution d’une éventuelle condamnation pécuniaire prononcée à son encontre à titre personnel, les voies d’exécution prévues par le Code des procédures civiles d’exécution seront mises en œuvre.

Un officier ministériel pourra être désigné afin d’effectuer les constats et notifications à domicile, conformément aux dispositions du Code des procédures civiles d’exécution, contre remise des frais (par chèque de préférence avec piece d’identité) constatés par procès-verbal.

Ce type de procédure ne lui est, semble-t-il, pas étrangère.

https://monaulnay.com/2021/11/un-huissier-recupere-2500e-de-condamnation-chez-bruno-beschizza-la-gauche-les-versera-a-aides-et-sos-homophobie.html

Monsieur Beschizza reste à ce jour présumé innocent, blablablabla

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« il constate que les élus de la majorité regardent leurs chaussures et aucun n’ose le suivre »

Je crois que beaucoup, de plus en plus d’élus de sa majorité en ont marre de se maire autoritaire. J’attends leur liste avec impatience, si ça se trouve il y aura sécession, un candidat issu des 44 ou plusieurs qui monteront une liste

Pas celui là, il s’est fait tout petit depuis cet article

https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/aulnay-sous-bois-93600/legislatives-les-investitures-lr-provoquent-des-remous-a-aulnay-11-01-2017-6555132.php
Il a tellement à perdre

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Je ne vais pas revenir sur le pitoyable post Facebook de Siby

Mais voilà… Voulez-vous de ce candidat comme maire ?

¤ Aulnay-sous-Bois — Cantique pour une défaite programmée

À quelques semaines des élections municipales à Aulnay-sous-Bois,
sur les réseaux sociaux, ça murmure, des mots qui volent, des promesses suspendues. On brandit le changement comme un drapeau délavé, on souffle du vent dans un désert d’idées.

Le camp adverse rêve d’en découdre — mais c’est surtout sur Facebook que ça s’agite, malgré une confusion entre stratégie et posture. Le yaka s’entrelace au faukon, chacun s’égare dans ses stratégies branlantes, sans boussole ni bélier.

Au cœur de ce mirage, un homme : Oussouf Siby.
Candidat solitaire, autoproclamé, sans concertation avec ses alliés naturels — le PCF, lui, abandonné sur le bord de la route, comme un animal laissé pour compte en plein été.

Pourtant, plébiscité sur Facebook — terrain privilégié de sa campagne, qu’il a débutée bien trop tôt —
par ses copains de cité, des quartiers nord, ces alliés de l’ombre,
il se tient néanmoins seul, face à la meute ;
ses appuis restent prisonniers de leur clavier.

👉 Le 9 juillet, dans l’arène du conseil municipal,
le rideau se lève.

Face à lui, Bruno Beschizza — acteur aguerri, stratège rôdé.
Il déroule sa scène avec une précision chirurgicale,
citant les directions administratives comme autant d’ombres portées, témoins silencieux d’une vérité fabriquée.

Pas besoin de voix : le décor parle pour eux.

🎥 La scène ici — youtube.com/watch?v=oGFW_REQAa4&t=4s

📰 Un avis d’opposants sans vraiment soutenir — monaulnay.com/2025/07/je-pete-les-plombs-bruno-beschizza-febrile-provoque-des-incidents-au-conseil-municipal.html

👉 Siby vacille

Acculé dans les cordes, comme un boxeur sonné par une rafale d’uppercuts et de directs précis

Pas de verbe puissant, pas de feu dans le regard.
Il balbutie, cherche des mots qu’il ne trouve pas.
Le débat s’efface — on assiste à une disparition en plein jour.
Le loup n’a pas mordu, il s’est laissé dévorer par le silence.

Et l’on cherche encore,
le candidat socialiste demeure une énigme :

Où sont les idées ? Où sont les axes, les projets, les ambitions pour la ville ? Rien, ou si peu. Juste des critiques en rafale, décrochées de toute proposition tangible.

Un simulacre d’opposition, sans chair ni colonne. Tout est échec, mais lui qu’a t’il fait ?

Pendant ce temps, toute la gauche semble s’effriter, pour ce qu’il en reste. Le PS n’a plus la ferveur, leurs électeurs pourraient s’éloigner.

Face à un Beschizza solide, rompu à l’exercice, on oppose un visage isolé, tel un adolescent sans réel repère, découvrant la réalité , sans cap ni levier, sans souffle.

Alors oui, certains diront que la campagne n’a pas encore commencé, que tout peut encore basculer.

– Un retournement ?
– Un sursaut ?
– Une dernière carte dans la manche ?

Peut-être.

Mais à ce stade, plus personne de sensé ne peut y croire. C’est la consternation, la désillusion… Les dés semblent pipés, le combat truqué par l’inertie. Battu, humilié en public, sans verbe ni écho, le candidat s’effondre sans même avoir combattu.

Àlea jacta est.

Et les opposants, eux, devront choisir : attendre six ans de plus…
Ou continuer à refaire le monde… Peut-être ailleurs

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