Ce n'est pas certain, selon les éléments que la rédaction a récemment reçu de la part du candidat aux élections législatives (10e circonscription de la Seine-Saint-Denis), Hervé Suaudeau.
Le candidat écologiste aurait été saisi par un ex-employé, pour faire état des méthodes sociales brutales du groupe qui emploie les femmes de ménage d'Aulnay.
Selon Monsieur Suaudeau, la mauvaise réputation de ce groupe était connue avant la signature du marché avec la ville. Toujours selon lui, l'affaire risque de ressortir dans les jours qui viennent car TFN (qui appartient groupe ATALIAN) ne semble pas respecter ses promesses. Les syndicats auraient également été contactés.
La rédaction se préserve de donner un quelconque avis sur la bonne volonté ou non de TFN et sur les pratiques du groupe Atalian.
Ci-dessous, une liste d'article qui met quelque peu à mal l'image du groupe Atalian :
- Comment la SPF (Groupe ATALIAN) se débarrasse de ses salariés, un exemple sur Meyzieu
- Licenciés sans humanités ?
- Des dégâts humains fruits d’un licenciement musclé
- Un long combat en justice
Pour rappel, suite à une grève et aux différentes actions des syndicats, TFN avait promis des engagements pour que la crise cesse.
28 Réponses à “Le groupe Atalian (TFN, femmes de ménage d’Aulnay-sous-Bois) a t-il une bonne réputation ?”
On voitla politique de croissance externe du GROUPE ATALIAN, dont le PDG a reçu le prix de » LA STRATEGIE D ENTREPRISE » et dont BERNARD ACCOYER a decerné la médaille du merite nationale !!!!!!!!!!!
Bravo pour les dizaines de procédures prud hommales en cours avec deja 8 procedures gagnees…. par les salariés
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Vendargues. Les intolérables paradoxes du capitalisme : cadre promu, cadre licencié!
Par NPA 34. jeudi, mars 8 2012, 15:47. Actualités locales et régionalesChômage Harcèlement Social | Lien permanent.
Vendargues. Un cadre ça se jette aussi !
Nous avons rencontré William Pinson à Vendargues. Son histoire est édifiante.
Flash back : il est cadre commercial depuis 1995 à Lyon, dans une société familale de matériel incendie, qu’il a fortement contribué à développer. Sa vie bascule quand le groupe Atalian, leader européen du multiservices pour les entreprises et collectivités locales rachète la petite entreprise florissante.
Le groupe Atalian, qui fait 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires et compte 25 000 salariés, rachète une flopée de petites entreprises et évidemment restructure. La nouvelle filiale constituée, Sécurité, Protection, feu ( SPF) propose à William Pinson une mutation à Lunel-Viel, siège social de toute la zone Sud avec 324 salariés.
Il accepte ce qu’on lui présente comme une « promotion. » Mais c’est pour mieux le licencier ensuite.
En effet quelques mois après la mutation le voilà convoqué par ses supérieurs pour une « rupture conventionnelle » avec très peu d’indemnités donc. Il refuse et tout se gâte .
Il reçoit sa lettre de licenciement pour « cause réelle et grave » (sic) car il n’a pas réalisé les objectifs assignés, bien entendu irréalisables.
William Pinson n’est pas le seul, tous les autre cadres ou directeurs de région, une dizaine, sont licenciés. En fait il s’agit pour la filiale SPF du groupe Atalian de se débarrasser de cadres expérimentés mais trop coûteux.
Et toutes les méthodes sont utilisées, harcèlement moral, non paiement de salaires dûs. Beaucoup craquent, William Pinson fait une dépression, Sébastien Alibert, un autre cadre dans la même situation, est au bord du suicide… Par un courrier de juillet 2010 l’inspection du travail constate « de grandes pressions conduisant indubitablement à une grande souffrance au travail »
Mais ils se battent devant la justice prudhommale . Ils gagnent en référé mais doivent faire appel à nouveau aux tribunaux pour obtenir leurs indemnités car l’entreprise fait traîner, a changé de nom, de siège social…
William Pinson et tous les autres licenciés sont décidés à se battre jusqu’au bout pour faire valoir leurs droits.
Que démontrent ces faits ? Comme les salariés de base, les cadres sont aujourd’hui de plus en plus victimes de méthodes destructrices de vies. La multiplication des suicides mettant directement en cause le harcèlement au travail, les pressions incessantes, les licenciements abusifs alors que les entreprises font du profit, montrent que le capitalisme, avec son obsession d’un profit toujours plus important, est une impasse pour l’humanité.
Il faudra bien en sortir !
JC Carcenac et Claude Dubois (NPA 34)
Article extrait de Tout est à nous (l’hebdo du NPA) n° 138
Comment la SPF (groupe Atalian) se débarrasse de ses salariés, un exemple dans le Rhône.
Atalian (ex-TFN) est le groupe qui monte dans les services aux entreprises, à force d’acheter une par une les boîtes de maintenance, sécurité, nettoyage, etc. Devenu leader européen dans le multiservice avec un chiffre d’affaires d’1 milliard d’euros, son président F. Julien a été médaillé par l’Assemblée nationale pour sa « stratégie d’entreprise » en 2009. Mais qu’en est-il pour les salariés ? Le sort de ceux de la Société nationale de protection incendie (SNPSI), vendue à la branche SPF (sécurité protection feu) d’Atalian.SI en 2009, en donne une idée…
À l’agence de Meyzieu dans le Rhône, spécialisée dans la vente et la maintenance des extincteurs, une convention collective désavantageuse a d’abord été imposée aux VRP. En toute illégalité puisque ce changement ne peut se faire qu’après un délai de quinze mois. Puis un nouveau contrat de travail vise à les faire passer sur le statut de technico-commerciaux, ce qui permet de leur sucrer l’indemnité liée à leur clientèle, en cas de licenciement.
Ceux qui acceptent se voient alors proposer une « évolution », qui les oblige pour certains à déménager dans un autre département, mais c’est pour se retrouver quelques mois plus tard avec des objectifs irréalisables, et donc licenciés !
Les autres se voient infliger des retenues de milliers d’euros sur
leur salaire.
Dans un courrier de juillet 2010, l’inspection du travail constate « de grandes pressions conduisant indubitablement à une grande souffrance au travail », des « menaces de licenciement », le fait de « convoquer régulièrement le même salarié pour des entretiens préalables en vue de licenciement, [qui] pouvait être constitutif de harcèlement moral à l’égard de celui-ci et de toutes façons provoquer chez ce salarié un stress important ». Certains employés sont tellement désespérés par ce traitement qu’ils demandent aux prud’hommes la résolution judiciaire de leur contrat !
Ainsi, un par un depuis 2010, huit salariés sur les treize de Meyzieu ont été licenciés, dont six pour faute grave, donc sans indemnités ! Non seulement ces personnes ont perdu leur emploi, et pour certaines, pour longtemps car elles étaient soumises à des clauses de non-concurrence de deux ans, mais elles sont cassées par cette maltraitance, effondrées et en pleine déprime…
Pour elles, il ne restait que le recours judiciaire : la plupart ont agi en justice, gagné en référé, mais n’ont (toujours) pas reçu de chèque (l’entreprise fait traîner, a changé de nom, de siège social…) ; les salariés ont dû faire intervenir un huissier et engager une nouvelle procédure devant le tribunal de commerce qui a condamné la société…
L’un des cadres concernés dénonce la stratégie à l’oeuvre : « ils licencient gratuitement et réembauchent à moindre coût ». Cette manoeuvre, courante dans les restructurations des secteurs où les salariés ne sont pas organisés, est à dénoncer, à combattre et à interdire !
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Il est maintenant confirmé que la société TFN a obtenu de la Mairie la signature d’un avenant au marché de nettoyage pour « rentabiliser » leur contrat et permettre (peut-être ?) de tenir leur engagements vis à vis des salariés. Quand est-il alors de la régularité de l’appel d’offres publics si une mairie pour éviter des problèmes sociaux offre une rallonge à la multinaltionale surendettée choisie ??
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et encore un licenciement sec SANS MOTIF A SPF – ATALIAN…..
et LA SOCIETE EST VENDUE…..!!!!
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En parallèle, lorsque l’on entend les méthodes de ressources humaines qui ont l’air d’avoir lieu dans le service communal… Il serait bon de savoir depuis 2008, le nombre d’agents en maladie, le nombre de départ volontaires ou de démissions, et ce serait intéressant de voir combien ont été invités à partir. Il semblerait que le respect humain ne soit pas de mise…
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Le scandale du jeudi
A quoi joue Atalian ?
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Encore et encore …
SPF ATALIAN devant les prud’hommes :
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/18/meyzieutrois-ans-de-combat-face-a-une-multinationale
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SPF (Atalian) dans le progrès du 18 septembre 2012, on peut y lire : « meyzieu trois ans de combat face à une multinationale…la CGT organise une manifestation devant les prud’hommes de LYON…afin de dénoncer le non respect du droit du travail…relève que le groupe ne respecte pas le droit du travail… » voir également l’article suivant : »A quoi joue ATALIAN » http://www.montpellier-jeuditout.com/article/a-quoi-joue-atalian.html
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Edition de Lunel
Vendredi 21 Septembre 2012
Le marathon judiciaire de William Pinson
Depuis plus d’un an, c’est un véritable parcours du combattant. Plusieurs salariés de la Société Protection Feu (SPF) du groupe Atalian, basée à Lunel-Viel, ont contesté leur licenciement.Un combat mené désormais devant les tribunaux. Notamment par William Pinson, ancien responsable commercial dans le sud de la France.Il retrouvait, hier après-midi, le tribunal de commerce de Montpellier pour une nouvelle audience. Cette fois, en référé pour qu’on lui verse sa clause de non-concurrence. La veille, c’est son ancien collègue Sébastien Alibert qui était au tribunal de Lyon.Le soutien du député Jean Lassalle À Montpellier, plusieurs institutions sont venues apporter leur soutien à William Pinson. La CGT, présente à Lyon, la veille, dénonçant dans un tract :
« Atalian s’assoit sur le droit du travail et n
e manquant pas de souligner
les nombreuses condamnations aux prud’hommes, de Lille à Montpellier en passant par Lyon ». Guy Cauneille, de la CFE-CGC est également présent à ses côtés. Des politiques font aussi acte de présence auprès du salarié licencié. C’est le cas de Virginia Corral Jimenez, déléguée départementale du MoDem 34 et de Caroline Larmée, vice-présidente du MoDem Hérault.
« Le MoDem a toujours été sensible à la moralisation de la vie publique. C’est la même chose dans le fonctionnement de l’entreprise. Nous soutenons activement la démarche de William. C’est un dossier qui a été pris en charge au niveau national avec le soutien du député Jean Lassalle . »Le combat judiciaire se poursuit, étape par étape. William Pinson a gagné la première manche. Mais SPF a fait appel de ce jugement reconnaissant le licenciement abusif. Cet appel sur le fond aura lieu début décembre 2013. Hier, en référé, il s’agissait de statuer sur le paiement de la clause de non-concurrence. Alors que le licenciement remonte à plus de deux ans et qu’entre-temps, le cadre n’a pas travaillé dans son secteur d’activité.
Des procédures à rallonge En charge de plusieurs dossiers d’anciens salariés de SPF-Atalian, l’avocat Me Pierre-Henri Gazel le constate.
« Dans tous les dossiers où ils sont condamnés, ils font appel. C’est une technique. Sébastien Alibert, lui aussi, a gagné sur le fond. Et ils ont fait appel. »Pour cette audience en référé, le débat est opaque.
« C’est très compliqué », lâche une juge. Il s’agit de savoir si la dénonciation de la clause de non-concurrence par l’employeur est trop tardive. Et sur quelle période. En découlera le montant à payer au salarié licencié ou pas, Me Mazard, l’avocat de l’employeur, demandant que le plaignant soit débouté. Le jugement sur ce point sera rendu le 4 octobre. Avant l’appel sur le fond, en janvier 2013.Le long marathon judiciaire continue.
F. A.
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Atalian est condamnee deja à 290 000 euros pour licenciement abusif…..
16 et 17 eme condamnations aux prudhommes pour ATALIAN-TFN !!!!!
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Bonjour,
Les salariés ATALIAN-TFN sur Pierrelatte vivent des temps très difficiles avec l’entreprise. Harcellement moral. Retard de paiement de salaires, erreurs répétées sur les feuilles de paies difficilements lisibles … merci d’avance pour les éventuels informations pouvant nous aider. Christelle
Christelle
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l inspection du travail de montpellier est descendue 4 fois dans les locaux, il suffit de contacter chantal nietto et elle vous donnera mes coordonnes et je vous envois le dossier COMPLET !!!!
et aussi l inspection du travail de la drome…..
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christelle,
il faut vous connecter sur :
http://www.collectifcontrelesdpatronsvoyous.com
Sur ce site vous allez tout savoir du groupe ATALIAN ET DE LEURS METHODES !!!
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Bonjour rerrr et merci pour votre réponse.
J’ai lu les informations données par ce lien et il est clair que les patrons « voyous » existent bien. Bonne journée et bon courrage à tous.
Christelle
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Bonjour rdrr,
l’inspection du travail de la Drôme est aussi alertée par les salariés de Pierrelatte. L’inspecteur du Travail est intervenu auprès des salariés et de l’entreprise cette semaine. La direction d’Atalian doit répondre très très rapidement aux demandes faites par l’inspecteur du Travail et Médecine du Travail. L’inspecteur du Travail de Valence prendra probablement connaissance du dossier en possession de son confrère de montpellier. Les salariés d’ATALIAN de Pierrelatte ont suspendu leur mouvement de grève le temps de la mise en place des avancées obtenues mais restent très mobilisés. Bon we
Christelle
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Une partie des salariés de la société TFN Atalian se met en grève aujourd’hui sur le site du Tricastin Photo DL/ ARCHIVES
Une partie des salariés de la société TFN Atalian se met en grève aujourd’hui sur le site du Tricastin. Ils se disent harcelés au travail.
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Une partie des salariés de la société TFN Atalian se met en grève aujourd’hui sur le site du Tricastin. Les employés de cette société de nettoyage sous-traitante du groupe Areva dénoncent leurs conditions de travail et des pressions. Une distribution de tracts est annoncée devant les entrées du site.
« Une surcharge de travail et des pertes de salaires »
« Nous subissons du harcèlement moral, une surcharge de travail et des pertes de salaire depuis que le contrat a été repris par TFN en février 2012 » explique une salariée qui reste anonyme par peur de sanctions. « Il n’y a pas de syndicats dans notre entreprise d’une centaine de salariés » précise-t-elle. La colère grondait depuis plusieurs semaines mais un incident a tout accéléré hier.
Vers 9 heures, un salarié de TFN a été victime d’un malaise au poste de garde d’Areva. « Il a fait un AVC (accident vasculaire cérébral) en constatant qu’il n’avait plus ses autorisations d’accès au site. Ce salarié avec 10 ans d’ancienneté venait d’être muté d’office à Orange » explique sa collègue. Le Pierrelattin de 47 ans a été héliporté à l’hôpital de Valence dans un état sérieux. « Areva doit réagir » ajoute la salariée qui reproche au groupe d’avoir passé un contrat au rabais avec TFN.
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CHRISTELLE
2 ans et demi a pleurer………..
2 ans et demi a me remettre en cause..
2 ans et demi a arriver en appel……
2 ans et demi de souffrance……….
ce sont des voyous BIEN CONNUS et je vous donne le numero de MME NIETTO CHANTAL 04.67.22.88.14
DE LA PART DE spf ……..ATALIAN…
BSR CHRISTELLE
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Bonjour, cet article fait référence au mouvement de grève sur Pierrelatte. suite à l’intervention de l’Inspecteur du Travail, de la Médecine du TravailLe et des négociations. Les salariés attendent un courrier rappelant les engagements de la direction. A ce jour celui-ci n’est pas parvenu et en l’absence de celui-ci rapidement les salairés risquent de lever la suspension de grève pour un mouvement plus dur. Ils sont très motivés et en colère. Mais il n’est pas pensable que ATALIAN ne prenne ce risque. Ils doivent aussi répondre sans tarder à l’Inspection du Travail de la Drôme et à la Médecine du Travail. Espérons pour la santé du contrat les liant avec les clients que la prestation soit assurée dans le respect des différentes exigences.
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Mme NIETTO chantal a tout le dossier en mains………………
elle connait tout de tfn !!!!!!
IL FAUT L APPELER………….
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VAS sur FACEBOOK TU AURAS TOUTES LES ADRESSES CHRISTELLE…..
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Bonjour rdrr,
Je vous remercie de prendre la peine de me répondre. Je lis à vos message une souffrance encore palpable. J’espère que vous trouvez la force de vous reconstruire. Il ne faut pas les laisser vous faire plus de mal que ce qui ne vous ont déjà fait.
Je vais prendre contact avec Mme NIETTO dès que possible. En espérant que ces façons de faire cesseront dans cette entreprise.
Bon courage
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et encore un prudhommes perdu par ATALIAN dans le nord.
18eme prudhommes perdu !
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Soutien aux salariés d’ATALIAN
samedi 22 décembre 2012 par Philippe
Depuis le 17 octobre 2012, la sous-traitance a démarré sur le site de Corbas avec l’entreprise Atalian.
Les salariés de cette entreprise sont affectés au chargement et déchargement des colis.
Face à leurs conditions de travail détestables, les salariés d’Atalian ont débrayé le 13 décembre 2012. En effet, ceux-ci n’ont pas de matériel pour travailler (pas de gants par exemple !) et utilisent une salle de repos non-équipée (2 bancs en guise de table pour se restaurer !).
De plus, ces salariés ont effectué un certain nombre d’heures supplémentaires que la direction refuse de payer. Devant cette situation, les salariés d’Atalian ont décidé de réagir en débrayant le jeudi 13 décembre.
Le syndicat SUD-Chronopost de la section Corbas tient à dénoncer cette situation. Pour SUD, il est inacceptable que des salariés puissent travailler dans de telles conditions.
La direction de Chronopost porte une lourde responsabilité dans cette affaire. En effet, le recours à la sous-traitance par Chronopost n’est là que pour faire du profit au détriment des conditions de travail.
SUD suit cette affaire de près et apporte son soutien total et entier aux salariés de l’entreprise ATALIAN en lutte pour des conditions de travail décentes.
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Flash back : il est cadre commercial depuis 1995 à Lyon, dans une société familale de matériel incendie, qu’il a fortement contribué à développer. Sa vie bascule quand le groupe Atalian, leader européen du multiservices pour les entreprises et collectivités locales rachète la petite entreprise florissante.
Le groupe Atalian, qui fait 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires et compte 25 000 salariés, rachète une flopée de petites entreprises et évidemment restructure. La nouvelle filiale constituée, Sécurité, Protection, feu ( SPF) propose à William Pinson une mutation à Lunel-Viel, siège social de toute la zone Sud avec 324 salariés.
Il accepte ce qu’on lui présente comme une « promotion. » Mais c’est pour mieux le licencier ensuite.
En effet quelques mois après la mutation le voilà convoqué par ses supérieurs pour une « rupture conventionnelle » avec très peu d’indemnités donc. Il refuse et tout se gâte .
Il reçoit sa lettre de licenciement pour « cause réelle et grave » (sic) car il n’a pas réalisé les objectifs assignés, bien entendu irréalisables.
William Pinson n’est pas le seul, tous les autre cadres ou directeurs de région, une dizaine, sont licenciés. En fait il s’agit pour la filiale SPF du groupe Atalian de se débarrasser de cadres expérimentés mais trop coûteux.
Et toutes les méthodes sont utilisées, harcèlement moral, non paiement de salaires dûs. Beaucoup craquent, William Pinson fait une dépression, Sébastien Alibert, un autre cadre dans la même situation, est au bord du suicide… Par un courrier de juillet 2010 l’inspection du travail constate « de grandes pressions conduisant indubitablement à une grande souffrance au travail »
Mais ils se battent devant la justice prudhommale . Ils gagnent en référé mais doivent faire appel à nouveau aux tribunaux pour obtenir leurs indemnités car l’entreprise fait traîner, a changé de nom, de siège social…
William Pinson et tous les autres licenciés sont décidés à se battre jusqu’au bout pour faire valoir leurs droits.
Que démontrent ces faits ? Comme les salariés de base, les cadres sont aujourd’hui de plus en plus victimes de méthodes destructrices de vies. La multiplication des suicides mettant directement en cause le harcèlement au travail, les pressions incessantes, les licenciements abusifs alors que les entreprises font du profit, montrent que le capitalisme, avec son obsession d’un profit toujours plus important, est une impasse pour l’humanité.
Il faudra bien en sortir !
JC Carcenac et Claude Dubois (NPA 34)
Article extrait de Tout est à nous (l’hebdo du NPA) n° 138
Comment la SPF (groupe Atalian) se débarrasse de ses salariés, un exemple dans le Rhône.
Atalian (ex-TFN) est le groupe qui monte dans les services aux entreprises, à force d’acheter une par une les boîtes de maintenance, sécurité, nettoyage, etc. Devenu leader européen dans le multiservice avec un chiffre d’affaires d’1 milliard d’euros, son président F. Julien a été médaillé par l’Assemblée nationale pour sa « stratégie d’entreprise » en 2009. Mais qu’en est-il pour les salariés ? Le sort de ceux de la Société nationale de protection incendie (SNPSI), vendue à la branche SPF (sécurité protection feu) d’Atalian.SI en 2009, en donne une idée…
À l’agence de Meyzieu dans le Rhône, spécialisée dans la vente et la maintenance des extincteurs, une convention collective désavantageuse a d’abord été imposée aux VRP. En toute illégalité puisque ce changement ne peut se faire qu’après un délai de quinze mois. Puis un nouveau contrat de travail vise à les faire passer sur le statut de technico-commerciaux, ce qui permet de leur sucrer l’indemnité liée à leur clientèle, en cas de licenciement.
Ceux qui acceptent se voient alors proposer une « évolution », qui les oblige pour certains à déménager dans un autre département, mais c’est pour se retrouver quelques mois plus tard avec des objectifs irréalisables, et donc licenciés !
Les autres se voient infliger des retenues de milliers d’euros sur
leur salaire.
Dans un courrier de juillet 2010, l’inspection du travail constate « de grandes pressions conduisant indubitablement à une grande souffrance au travail », des « menaces de licenciement », le fait de « convoquer régulièrement le même salarié pour des entretiens préalables en vue de licenciement, [qui] pouvait être constitutif de harcèlement moral à l’égard de celui-ci et de toutes façons provoquer chez ce salarié un stress important ». Certains employés sont tellement désespérés par ce traitement qu’ils demandent aux prud’hommes la résolution judiciaire de leur contrat !
Ainsi, un par un depuis 2010, huit salariés sur les treize de Meyzieu ont été licenciés, dont six pour faute grave, donc sans indemnités ! Non seulement ces personnes ont perdu leur emploi, et pour certaines, pour longtemps car elles étaient soumises à des clauses de non-concurrence de deux ans, mais elles sont cassées par cette maltraitance, effondrées et en pleine déprime…
Pour elles, il ne restait que le recours judiciaire : la plupart ont agi en justice, gagné en référé, mais n’ont (toujours) pas reçu de chèque (l’entreprise fait traîner, a changé de nom, de siège social…) ; les salariés ont dû faire intervenir un huissier et engager une nouvelle procédure devant le tribunal de commerce qui a condamné la société…
L’un des cadres concernés dénonce la stratégie à l’oeuvre : « ils licencient gratuitement et réembauchent à moindre coût ». Cette manoeuvre, courante dans les restructurations des secteurs où les salariés ne sont pas organisés, est à dénoncer, à combattre et à interdire !
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L’entreprise de nettoyage TFN de Lesquin condamnée pour harcèlement moral
Publié le 02/11/2007 à 12h13
Lavoixeco – Des demandes indélicates de la part de son supérieur, des critiques, des mutations insensées… Une employée de la société Technique française de nettoyage (TFN), embauchée sur le site de Lesquin, a saisi le conseil des Prud’hommes de Lille pour harcèlement moral à l’encontre de son employeur. Elle a gagné. Mais ses ennuis ne sont pas pour autant terminés.
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la justice est passée à MONTPELLIER, au tribunal d’instance, en cour d appel…..
120.000 euros de condamnations contre ATALIAN
17.000 euros a rembourse au POLE EMPLOI par ATALIAN……..
Et oui, tout se paye un jour MEME POUR ATALIAN..
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Groupe Atalian : « Laissons faire le tribunal»
Président du pôle sécurité sûreté et secrétaire général d’Atalian, Richard Tranché a bien voulu nous répondre.
«Tous les jours, il y a des entrées dans l’entreprise, tous les jours, il y a des sorties. Depuis le début de l’année, on a fait plus de trente recrutements sur la partie extincteurs. Je suis en phase de croissance. Des salariés qui quittent l’entreprise, c’est la vie normale de toute société. Pour certains, la clause de concurrence est appliquée, pour d’autres non. Chaque dossier est un cas particulier. Certes, l’entreprise l’année dernière a eu des pertes graves. Il y a eu des départs volontaires par l’employeur. Ils ont quitté l’entreprise. J’ai respecté les règles du droit du travail. Après, tout salarié a le droit de se défendre. Je n’ai rien à dire là-dessus. Attendons qu’il y ait un jugement sur le fond. Laissons faire le tribunal. Si j’ai tort, je paierai. Le groupe Atalian a 324 salariés sur le site de Lunel-Viel. J’ai été le premier à m’installer ici dans la zone. Ça aussi c’est important.»
Un long combat en justice
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Le cadre licencié du groupe Atalian gagne en appel
Midilibre.fr
13/03/2013, 16 h 22 | Mis à jour le 13/03/2013, 17 h 09
Réagir
Plusieurs cadres ont traîné Atalian devant les tribunaux.
Dernier épisode dans le feuilleton judiciaire opposant le groupe Atalian à plusieurs cadres licenciés de son ancienne filière, sécurité protection feu, basée à Lunel-Viel.
En appel à la chambre sociale de Montpellier, SPF Atalian a été condamnée face à William Pinson, ancien responsable commercial à Lunel-Viel. L’entreprise devra verser à ce dernier 114 258 euros, sans compter les intérêts légaux et les pénalités en cas de retard. Mais également 16 981 euros à Pôle Emploi. Nul doute que la multinationale du service aux entreprises devrait se pourvoir en cassation.
Un marathon judiciaire
C’est au printemps 2010 que William Pinson, à l’instar de plusieurs de ses collègues cadres, a été licencié de la société SPF. Le groupe Atalian avait auparavant racheté leur ancienne société familiale pour constituer un pôle sécurité incendie. Plusieurs cadres avaient été mutés puis licenciés quelques mois plus tard. Pour divers motifs tels que faute grave, non respect des objectifs. Des motifs contestés depuis avec succès auprès de la justice. A condition d’avoir les épaules suffisamment solides pour supporter un marathon judiciaire de bientôt trois ans. Depuis le groupe Atalian a revendu SPF… Et délaissé la protection incendie.
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