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Les dédommagements accordés aux usagers des lignes les moins fiables d'Île-de-France avaient concerné quinze axes ferroviaires en 2023. Ils devraient être nettement moins nombreux cette année.
Dans la suite de l'article du Parisien, c'est moins agréable pour notre RER :
Sur les dix premiers mois de l’année, seules quatre branches ferroviaires victimes de retards ou de suppressions de trains à répétition ont atteint ou dépassé les trois mois de fonctionnement dégradé. Il s’agit des axes Aulnay-sous-Bois/Mitry-Claye (resté sous le seuil de qualité de service minimum déjà cinq mois sur dix) et Saint-Rémy-lès-Chevreuse (géré par la RATP) sur le RER B et des branches Dourdan/La Norville et Étampes/Marolles-en-Hurepoix dans la partie sud de la ligne C.
Sept autres branches ferroviaires (Cergy/Maisons-Laffitte sur le RER A ; Aulnay/Roissy sur le RER B ; Juvisy/Brétigny sur le RER C ; Creil/Goussainville, Montgeron/Combs-la-Ville et Vigneux/Corbeil sur le RER D ; Nanterre/Cergy sur la ligne L et Paris/Coulommiers sur la ligne P), qui ont enregistré un ou deux mois de fonctionnement sous la barre des 80 % de ponctualité entre janvier et octobre 2024, sont encore susceptibles de rejoindre la liste des lignes ouvrant droit à des dédommagements.(...)
L’embellie constatée durant l’été s’était poursuivie en septembre, mais les taux de ponctualité ont eu tendance à replonger dès le mois d’octobre. Le RER B, par exemple, affichait un taux de régularité global (toutes branches confondues) de 92,8 % en août. Il a chuté à 86,8 % deux mois plus tard.
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