Les organisateurs des Jeux olympiques de Paris 2024 s'apprêtent à retoucher sérieusement la carte des sites
Nous vous en avions déjà parlé il y a peu, cela semble se confirmer.
Comme annoncé depuis plusieurs jours, Paris 2024 souhaite réaliser entre 300 et 400 millions d’euros d’économies dans un contexte économique et sanitaire incertain, soit 10% de son budget. Il sera formellement décidé ce mardi après-midi de tirer un trait sur les deux structures temporaires qui devaient être construites, puis démontées en Seine-Saint-Denis.
Il s’agit du stade aquatique pour les épreuves de natation, qui était prévu à Saint-Denis, et de la salle de volley qui était annoncée au Bourget. Deux sites dont les coûts étaient estimés respectivement à 90 M€ et 35 M€, et qui ne laissaient aucun héritage au département puisque démontés après les JO. Le centre aquatique olympique qui doit être construit à Saint-Denis n’est quant à lui pas menacé.
A l'origine, la zone olympique prévue pour s'étaler sur les communes de La Courneuve, Le Bourget et Dugny (Seine-Saint-Denis) devait être richement pourvue: trois épreuves (tir, badminton, volley-ball) et un village des médias promis à devenir un nouveau quartier, une «cité-jardin du 21e siècle» autour du parc départemental de la Courneuve. Mais là aussi, le projet s'effiloche pour faire des économies.
A l'origine, la zone olympique prévue pour s'étaler sur les communes de La Courneuve, Le Bourget et Dugny (Seine-Saint-Denis) devait être richement pourvue: trois épreuves (tir, badminton, volley-ball) et un village des médias promis à devenir un nouveau quartier, une «cité-jardin du 21e siècle» autour du parc départemental de la Courneuve. Mais là aussi, le projet s'effiloche pour faire des économies.
Source: rmcsport.bfmtv.com et sport24.lefigaro.fr