Ce lundi, un tiers des effectifs a stoppé le travail pour dénoncer l’absence de prime de participation.
Une centaine de salariés, soit un peu plus d’un tiers des effectifs, a cessé le travail pour protester contre les conditions de travail et l’absence d’augmentations salariales. Ils ont prévu de reprendre le travail ce mardi.
Mais il n’y a pas que l’argent, il y a aussi un problème de sous-effectifs et le recours de plus en plus importants aux vacataires. Tout cela dégrade notre environnement. »
Pour des questions financières, le personnel gréviste ne peut poursuivre le mouvement plus de 24 heures. Cependant, les syndicats prévoient des débrayages réguliers, quelques heures par mois.
« Entre les actes plafonnés et les déremboursements, la sécurité sociale nous a versé 700 000 € de moins cette année, fustige Frédéric Babin-Chevaye, le directeur de l’hôpital. Ajoutez 300 000 € de subvention en moins et vous avez un chiffre d’affaires qui plonge. »
Il n'y a donc pas qu'à l’hôpital Ballanger les conditions de travail se dégradent mais qui pouvait encore en douter?