Avec Mahel, étudiant en Lettres de 19 ans, candidat sur la liste « Pour le pain, la paix, la liberté » présentée par le Parti des Travailleurs aux élections européennes et conduite par Camille Adoue
NON A LA MARCHE A LA GUERRE ! PAS UN SOU, PAS UNE ARME, PAS UN HOMME POUR LA GUERRE !
Halte au génocide du peuple palestinien.
La mobilisation contre « Genocide Joe » (nom donnée à Biden) aux Etats-Unis et le vote de 95 milliards de dollars supplémentaires, pour l’envoi d’armes en Israël (26 milliards) et en Ukraine (61 milliards) embrase les Universités et les campus américains. En France, à Sciences Po Paris et en province, dans plusieurs universités, les étudiants exigent : « Halte au massacre du peuple palestinien ». Macron, lui, continue de fournir des armes à Israël.
Les étudiants de Sciences Po ont raison de réclamer : Rupture de toute relation avec Israël
ARRET DU GENOCIDE ! RUPTURE DES RELATIONS DIPLOMATIQUES, ARRET DES LIVRAISONS D’ARMES A ISRAEL !
En Ukraine : Ni Poutine, ni Zelensky ! Retrait des troupes russes, retrait des troupes de l’OTAN
Tous les gouvernements capitalistes du monde surarment l’Ukraine. Des milliers de jeunes Ukrainiens et Russes supplémentaires (déjà 500 000 jeunes russes et ukrainiens morts ou blessés) vont mourir dans cette boucherie qui profite d’abord aux marchands de canon et aux intérêts géostratégiques de l’impérialisme américain camouflé derrière l’OTAN.
« Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage » disait Jean Jaurès.
Et pourtant à l’Assemblée nationale et au Parlement européen, tous les députés de « gauche » qui se disent contre la guerre ont voté les crédits de guerre à l’Ukraine (50 milliards supplémentaires votés dernièrement à Bruxelles).
Les conséquences de l’économie de guerre sont effroyables pour les travailleurs : menace de l’extension du conflit vers une guerre mondiale ; 20 milliards de coupes dans les services publics. Ainsi le gouvernement refuse de répondre aux enseignants et parents du 93 qui ont exigé par la grève la création de 5 000 postes d’enseignants, de 1000 postes d’AESH.
Le Parti des Travailleurs regroupe autour d’un appel « Pas un sou, pas une arme, pas un homme pour la guerre » (200 signatures à Aulnay). Et 35 lycéens de la ville ont signé pour : « Non M. Macron, nous n’irons pas faire votre sale guerre ! »