A qui profite ce genre de mauvaise blague ? Un protocole de sécurité a été mis en place autour des établissements par la Police Nationale et la Police Municipale, et les élèves ont été invités à rejoindre des lieux d'évacuation mis à disposition par la Ville.
Des levées de doutes ont été réalisées par des équipes de déminage. Il s’agissait donc de fausses alertes. Il ne s'agit pas d'un cas isolé : depuis le début de l’année 2023, plus de 160 établissements ont fait l’objet d’une fausse alerte dans notre pays. Les auteurs de ces fausses alertes encourent deux ans de prison et 30.000 € d’amende.
Source X de la ville