Une sage-femme sur 3 manque dans nos maternités, ce qui amène des situations qui ne devraient pas exister.
Tantôt un refus d'inscription qui oblige à s'éloigner de son domicile pout trouver une place, tantôt une patiente non-inscrite alors qu'elle est enceinte de 6 mois ou un delestage pour assurer la sécurité.
Des refus d'inscription amènent des femmes à venir accoucher avec un dossier vide.
Pour remédier à ce problèmes, on pourrait avoir recours à des heures supplémentaires, l'embauche de sage-femmes étrangères ou la possibilité d’autoriser par décret les étudiantes de dernière année à travailler dès cet été.