Cette loi, rappelons le est fortement décriée par des organisations de journalistes, de syndicats et de collectifs de la défense des droits humains surtout dans son article 24 qui « sans préjudice du droit d’informer », de pénaliser d’un an de prison et 45 000 euros d’amende la diffusion de « l’image du visage ou tout autre élément d’identification » d’un policier ou d’un gendarme en intervention lorsque celle-ci a pour but de porter « atteinte à son intégrité physique ou psychique ».
Malgré un amendement en deuxième séance bien léger pour ses opposants la loi a été votée.
A noter que 4 députés "Les Républicains" n'ont pas voté cette loi et se sont abstenus