Et pourquoi pas!
Quand vous cherchez "plombière" sur le dictionnaire vous trouvez "Crème glacée à la vanille fourrée de fruits confits, servie nappée de marmelade d'abricots.", preuve que certains métiers ont du mal à vivre au féminin. Un bel exemple que cela est possible est raconté dans les echos-start, extraits!:
A première vue, rien ne laisse présager que Mona est plombière. Cette femme de 37 ans, grande et frêle, a pourtant plus d'une clé à molette dans son sac. Il y a cinq ans, elle fait le choix de la reconversion. Rarement associé à la réussite, plombier, comme la plupart des métiers du bâtiment, est une profession qui pourtant ne connaît pas la crise.
Après une dizaine d'années passées à Paris et à voyager, la jeune femme habite depuis un an et demi à Aulnay-sous-Bois en Île-de-France dans une maison qu'elle a rénové de A à Z, à l'aide des artisans de son entreprise.(...)
L'idée de monter une entreprise ne date pas d'hier pour cette jeune femme à l'esprit cartésien. Déjà à 25 ans, elle avait lancé un site de vente en ligne, qui a rapidement fait faillite.(...)
Ni une ni deux, elle s'associe à une autre femme, Aude, et ensemble, elles lancent Le Sourire de la plombière. Cinq années plus tard, elles se versent chacune 2.500 euros net par mois et 7.000 euros de bénéfices l'année dernière. Une rémunération qui lui convient largement. « J'ai très peu de frais dans ma vie, à part le coiffeur à cause de mes récents cheveux blancs », lâche-t-elle, toujours rieuse.(...)
La jeune femme a su développer une vitrine marketing novatrice dans le bâtiment : « La plomberie au féminin ». Autrement dit, « faire rentrer un inconnu chez soi peut inquiéter. En tant que femmes, qui de surcroît présentons bien, nous avons d'office un capital confiance », détaille-t-elle. A titre d'exemple, les églises du XVIIIe arrondissement de Paris et les associations LGBT font régulièrement appel à ses services.
L'entreprise de cette aulnaysienne se situe à Paris.(voir sa page FaceBook)