Les manifestants se sont immiscés dans le cortège en brandissant des banderoles et en scandant des slogans tels que "Tout le monde déteste la police", relate le quotidien français Le Figaro. Les individus cagoulés font également référence à des jeunes victimes de violences policières comme Théo, 22 ans, qui a subi un viol présumé avec une matraque lors d'une interpellation brutale le 2 février 2017 à Aulnay-sous-Bois.
Les amalgames entre le combat de la famille de Théo pour faire reconnaître son interpellation comme un viol et le fait que son nom soit apparu lors de ces violences en marge du défilé du 1er mai vont sûrement voir le jour sur les réseaux sociaux. Nul doute que la famille de Théo ne cautionne pas les agissements des black blocs.