Le rappeur aulnaysien Vald vient de publier Agartha, un premier album sensible mais brutal, chargé de références ésotériques. Avec des sons très électroniques et dansants, le rappeur entend composer «une première couche très superficielle qui camoufle quelque chose de bien plus puissant, un réseau lumineux», explique-t-il à l'AFP. L'album, qui devait d'abord s'appeler Radical, a finalement pris le nom d'un royaume imaginaire caché sous la croûte terrestre.
S'il considère que sa musique est d'abord «hystérique», le rappeur de 24 ans se livre aussi dans ce premier album: «J'en ai marre d'être blessé (...) mon corps a vécu, mon cœur est vétuste», déplore-t-il dans le titre «Neo», après s'être lancé dans une déclaration d'amour très pop à sa copine dans le titre Je t'aime, puis à sa meilleure amie.S'il considère que sa musique est d'abord «hystérique», le rappeur de 24 ans se livre aussi dans ce premier album: «J'en ai marre d'être blessé (...) mon corps a vécu, mon cœur est vétuste», déplore-t-il dans le titre «Neo», après s'être lancé dans une déclaration d'amour très pop à sa copine dans le titre Je t'aime, puis à sa meilleure amie.