Ces épisodes de fortes chaleurs dus au réchauffement climatique vont s'accentuer et avec eux la pollution à l'ozone.
Si à haute altitude l'ozone nous protège des rayons du soleil, celle qui est due à nos voitures, nos usines est nocive non seulement pour l'homme mais aussi pour la nature.
L’ozone a aussi des conséquences sur les végétaux. Il nécrose les fleurs et les feuilles, impacte leur croissance et réduit leur capacité à absorber le carbone. (...)
Certaines cultures y sont même particulièrement sensibles. Notamment le blé, très cultivé autour de Paris. Selon Jean François Castell, maître de conférences à AgroParisTech : « En Île-de-France, on estime que son rendement est réduit chaque année d’environ 5 à 10 % par rapport à celui que l’on obtiendrait en l’absence de ce polluant.
Source: Le Parisien