Un souhait partagé par de nombreux aulnaysiens qui veulent changer d'équipe majoritaire, mais qui parait, dans le texte de ce communiqué, avoir du mal à se mettre en place.
C'est un peu comme si tous les passagers d'un véhicule étaient d'accord sur la destination, mais avaient des divergences sur qui prendrait le volant, qui serait à côté du conducteur…
La déclaration de candidature de Oussouf Siby, Président du groupe d'opposition PS-PCF-EELV semble ne pas faire l'unanimité. Toutes ces composantes ont encore du temps devant elle pour donner la meilleure chance au changement en 2026.
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21 Réponses à “Unir les forces de gauche à Aulnay, un souhait du PCF local, mais non réalisé actuellement”
Les communistes d’Aulnay-sous-Bois sont bien gentils mais qu’est-ce qui ont fait ces dernières années excepté sortir des communiqués .
D’ailleurs qui sont-ils à Aulnay ? Il paraît qu’ils ont un élu mais personne ne le connait, on ne l’a jamais vu dans les quartiers ni dans les festivités de la ville. Le seule communiste respectable c’est Miguel Hernandez, un homme compétent et de valeur.
Aujourd’hui en toute honnêteté la seule personne qui est connu, qui a bossé, qui maîtrise tous les dossiers, qui est partout dans la ville et qui fait trembler Beschizza c’est Oussouf Siby. J’en discutais hier avec un de mes voisines qui m’a avoué ne pas avoir voté pour sa liste en 2020 . Mais récemment elle l’a contacté pour une problématique personnel il a été très réactif, il l’a reçu et est intervenu pour régler son problème. Malgré son agenda chargé il est proche des gens et il aide tout le monde. C’est quoi le problème ? On a un jeune expérimenté, compétent, qui né a grandi et travaillé à Aulnay et on lui met des bâtons dans les roues ? Je ne vois que de la jalousie, de la politique politicienne ou des choses inavouables pour des personnes qui se disent de gauche.
Qui aujourd’hui est le meilleur candidat que lui pour gagner face à Beschizza? Personnellement je n’en vois pas. LFI il y a personne et aux municipales on vote pour une personnalité et un programme. Les verts il y a une jeune femme sympathique mais pour être Maire c’est trop tôt pour elle. En tout cas elle a un fort potentiel. Je l’ai vu il y a quelques années lors d’un Conseil municipal elle a mis à l’amende Maroun.
Nous Aulnaysiens on veut des actes concrets soit il y a un rassemblement de toute la gauche avec des personnalités d’Aulnay sérieuses soit la gauche se divise comme souvent et Beschizza aura encore de belles années devant lui.
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RIEN NE CHANGERA SANS LA CONFIANCE DES ÉLECTEURS
– La confiance, clé du changement
Il ne faut jamais l’oublier, les clés du changement reposent dans les mains des électeurs.
——–
Par leur vote, parfois même par leur silence.
Rien ne fleurit sans leur adhésion.
Rien ne tient sans leur confiance.
Cette confiance, fragile comme un souffle,
ne se réclame pas.
Elle se gagne, lentement,
au fil des gestes cohérents, des paroles tenues,
des décisions qui font trace.
– Des graines semées dans un terrain difficile
Depuis 2014, l’équipe municipale a semé quelques graines –
parfois sous la pluie des critiques,
souvent contre le vent des budgets serrés.
Il y a eu des pierres posées, des pas engagés,
des choses qui méritent d’être vues sans œillères.
Mais à l’approche des échéances,
voici que s’accélère le temps.
Les projets bourgeonnent soudain,
parfois précipités, parfois tardifs.
Est-ce le dernier souffle d’un cycle qui s’achève
ou l’éveil sincère d’une nouvelle saison ?
Le temps le dira.
– Une opposition divisée, un doute croissant
Pendant ce temps, dans l’ombre, l’opposition rêve.
Elle parle haut, parfois juste.
Mais peine à marcher d’un seul pas.
Trop de voix, trop de voies.
Des idées qui brillent,
mais des murs entre elles.
Et dans ce vacarme de divergences,
le doute s’insinue.
– La responsabilité au-delà des ambitions
Car avoir des idées, c’est une chose.
Les porter dans la durée,
les incarner malgré le poids du réel,
c’en est une autre.
– Il ne suffit pas de vouloir chasser une équipe en place,
fût-elle arrogante ou usée.
Encore faut-il que celles et ceux qui aspirent à prendre le relais
sachent inspirer, rassembler, mériter.
L’alternance n’a de sens que si elle élève le débat,
redonne foi, répare les liens.
– Et qu’on ne s’y trompe pas : l’attrait des indemnités –
que l’on parle du conseil municipal, du Grand Paris
ou de Terre d’Envol – ne peut jamais être le moteur premier.
Car le bon projet,
c’est d’abord Aulnay,
ce lieu partagé,
cette maison commune à tous,
bien plus qu’une ambition personnelle,
plus qu’un désir ardent de siège convoité.
C’est là que se tissent les véritables liens,
loin des passions éphémères,
au service d’un avenir commun
Car on ne s’assied pas dans un fauteuil public pour briller,
mais pour servir.
Servir sans attente de prestige,
servir sans calcul.
C’est le peuple qu’on représente,
pas un destin personnel qu’on poursuit.
Ce n’est pas le mandat qui honore l’individu,
c’est l’individu qui doit honorer son mandat.
– La prudence des électeurs
Dans cette valse incertaine,
nombre d’électeurs choisiront peut-être
la stabilité, même imparfaite,
plutôt que l’aventure brouillonne.
Et parfois, le silence même du vote qui s’efface,
cette abstention discrète,
peut, telle une eau tranquille et profonde,
renforcer l’ombre au pouvoir en place,
lui offrant sans bruit un souffle inattendu.
La sagesse populaire murmure :
« Un bon tien vaut mieux que deux tu l’auras. »
Et ce n’est pas faiblesse :
c’est la prudence née de l’expérience.
– L’attente d’une démocratie vivante
Peut-être ce que réclament vraiment les habitants,
ce n’est pas un grand soir politique.
Mais plus d’écoute.
Une démocratie de proximité,
vivante, respirante.
Un pouvoir local qui ne parle pas
à un camp contre l’autre,
mais à tous, d’une seule voix humaine.
Car toute majorité, qu’elle vienne ou qu’elle reste,
porte le poids de tous.
Que le prochain projet municipal
n’oublie jamais cela.
– Mémoire et espoir
Aulnay-sous-Bois a connu une alternance marquante,
entre 2008 et 2014,
portée par des promesses,
brisée par des tensions,
sanctionnée par les urnes.
Et dans cette histoire collective,
se tisse une mémoire, une méfiance,
parfois une cicatrice.
——–
Peut-être est-ce là
la respiration même de la démocratie :
oscillation constante entre l’envie de renouveau
et la peur de l’inconnu,
entre souvenirs blessés
et espoirs lucides.
– Conclusion : bâtir dans la confiance
Mais une chose demeure,
immuable, essentielle, fondatrice :
sans confiance, rien ne peut vraiment commencer.
– Et n’oublions pas :
on ne reconnaît pas le bâtisseur à l’élan du discours,
mais au silence du mur qui tient.
——–
Simple avis, fruit d’une réflexion attentive,
la liberté est laissée à chacun
de choisir, en conscience,
son chemin pour les six années à venir,
avec l’humble espoir de ne pas se tromper,
guidé par la sincérité de son âme.
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Le mec il s’autoproclame candidat, sans concertation avec ses partenaires, alors qu’on vote pour une liste, comment voulez vous que ça fonctionne.
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L’ego ne fait pas le dialogue.
« Ralliez-vous à mon panache blanc, vous le trouverez au chemin de la victoire et de l’honneur. » — Oussouf Siby, Aulnay-sous-Bois, candidat de lui même
On reproche à Beschizza de ne pas écouter les Aulnaysiens.
Mais Oussouf Siby n’écoute même pas ceux qui sont censés travailler avec lui.
Avant de vouloir diriger une ville, il faut déjà savoir respecter son équipe. Et pas jouer les petits dictateurs
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On ne peut pas dire que LFI et Démocratie Représentative fasse partie de l’équipe du PS local. Se présenter dans un pays libre comme la France ne peut pas être considéré comme un dictat, mais peut-être, dans le cas présent une erreur stratégique. L’avenir en dira davantage.
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NDLR : Propos islamophobe censuré
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NDLR : propos modérés islamophobes
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Analyse du positionnement politique de l’auteur du texte plus haut signé du dandys
1. Tonalité globale : équilibre et prudence
Le texte adopte un ton modéré, cherchant l’équilibre entre critique et reconnaissance. Il n’y a ni attaque frontale contre le maire Bruno Beschizza, ni adhésion manifeste à l’opposition d’Oussouf Siby.
Cela donne une impression de recul réfléchi, ce qui peut être une posture sincère… ou une manière habile de camoufler un soutien discret.
—
🔎 Indices de compréhension du pouvoir en place
✴️ « Des graines semées dans un terrain difficile »
> « Depuis 2014, l’équipe municipale a semé quelques graines – parfois sous la pluie des critiques, souvent contre le vent des budgets serrés… »
➡️ Reconnaissance d’un bilan partiel, avec empathie pour les difficultés rencontrées.
Cela laisse entendre que l’auteur ne rejette pas entièrement le maire sortant.
✴️ « Il y a eu des pierres posées, des pas engagés, des choses qui méritent d’être vues sans œillères. »
➡️ On sent ici une invitation à ne pas diaboliser le maire actuel, à reconnaître ses apports. Cela ne vient généralement pas d’un opposant convaincu.
—
🔎 Regard plus sévère sur l’opposition
✴️ « Trop de voix, trop de voies. Des idées qui brillent, mais des murs entre elles. »
➡️ Critique claire de la division de la gauche locale.
Cela vise probablement Oussouf Siby et ceux qui gravitent autour de lui, sans unité.
✴️ « Il ne suffit pas de vouloir chasser une équipe en place… Encore faut-il savoir inspirer, rassembler, mériter. »
➡️ Formulation qui suggère que l’opposition ne donne pas encore de raisons suffisantes pour mériter l’alternance.
—
🧭 Bilan implicite : plutôt favorable au maire sortant, sans adhésion aveugle
L’auteur ne défend pas ardemment Bruno Beschizza, mais semble appeler à la continuité, voire à la stabilité dans l’incertitude.
Il dénonce les ambitions politiciennes ou personnelles, ce qui pourrait être une pique adressée à certains élus d’opposition.
Il conclut avec la maxime : « Un bon tien vaut mieux que deux tu l’auras » — une phrase typique de ceux qui préfèrent ne pas risquer l’alternance.
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– Cette analyse peut, bien sûr, correspondre ou non…
N’oublions pas qu’une élection municipale est avant tout la rencontre entre une liste, conduite par un chef de file choisi en concertation, et les administrés — ce n’est pas l’élection d’un président de la République, cette rencontre entre un homme et son peuple.
– Le PCF s’interroge…
Un village gaulois reste un village gaulois…
Pendant ce temps, les Romains restent unis derrière César.
L’organisation romaine a joué un rôle fondamental dans l’expansion de leur empire, au point de faire de Rome l’une des plus grandes puissances de l’histoire. Leur sens de l’ordre, de la discipline et de l’adaptation a permis un développement rapide, durable et influent.
Notre civilisation a progressé grâce à César, et non par les divisions et querelles entre Vercingétorix et les autres chefs gaulois.
La civilisation romaine a profondément marqué l’histoire occidentale et continue d’exercer une influence considérable sur notre société moderne, dans de nombreux domaines.
On attend toujours l’apparition d’un « Brutus » local…
Qu’il se déclare ! Mais s’il en existe un, il pourrait bien demeurer tapi dans l’ombre de son empereur, par peur de représailles ou pour préserver sa position.
Pendant que certains avancent en formation « tortue » 🐢, unis et méthodiques, le lièvre 🐇, fougueux et indiscipliné, s’élance à sa guise, pressé d’arriver sans maîtrise ni recul — mais demeure exposé aux tirs du chasseur.
– Conclusion :
De la Gaule face à Rome à la gauche face à la droite, l’histoire semble se répéter : la division affaiblit, l’unité renforce. Si la gauche politique souhaite éviter le destin tragique des Gaulois d’Alésia, elle devra apprendre des erreurs du passé et construire une stratégie collective, ce qui, pour l’heure, ne semble pas être le cas.
——
« Puisant de nouveau dans l’œuvre de Jean de La Fontaine, je rappelle la sagesse de la fable du Lièvre et de la Tortue, qui enseigne que « rien ne sert de courir ; il faut partir à point. »
« Je ne donne pas une opinion politique, mais une approche pragmatique. À chacun de se déterminer en son âme et conscience »
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Oussouf Siby, conseiller municipal d’opposition à Aulnay-sous-Bois, a annoncé sa candidature pour les élections municipales de 2026. Président du groupe d’opposition local regroupant le PS, le PCF et EELV, il est le premier à se déclarer officiellement dans cette campagne. Cette annonce a été relayée par le site MonAulnay.com le 4 juin 2025 .
Cependant, son positionnement au sein de la gauche locale suscite des débats. Certains observateurs estiment que ses actions et sa communication, parfois centrées sur sa propre image, pourraient fragiliser l’unité de la gauche à Aulnay-sous-Bois. Par exemple, un article du site Aulnay Libre du 10 novembre 2023 soulignait que ses tracts, mettant en avant sa personne, étaient perçus comme un signe d’égocentrisme, ce qui pourrait nuire à la cohésion nécessaire pour une campagne collective .
En outre, bien que le groupe Démocratie Participative ait engagé des discussions avec lui, aucun soutien officiel n’a encore été annoncé . Cela reflète une certaine prudence au sein de la gauche locale quant à la consolidation d’une candidature unitaire.
Bien qu’Oussouf Siby soit un acteur politique reconnu à Aulnay-sous-Bois, son approche et ses méthodes suscitent des interrogations sur leur impact potentiel sur l’unité de la gauche en vue des élections municipales de 2026.
—
Le rôle du PCF et la volonté d’une désignation commune
Le PCF a publié ce communiqué insistant sur la nécessité d’une désignation commune, démocratique et consensuelle des candidats de la gauche, notamment pour éviter la division, ce qui est crucial dans une élection municipale souvent très disputée.
Ce type de désignation permet :
De renforcer la cohésion entre les différents partis et mouvements de gauche.
De maximiser les chances de succès électoral en évitant les candidatures concurrentes qui fractionnent les voix.
De donner une légitimité politique plus large au candidat, qui ne serait pas perçu comme simplement le « candidat personnel » d’un élu, mais bien comme le représentant de tout un projet politique partagé.
—
Les critiques à l’encontre de la candidature d’Oussouf Siby
Plusieurs critiques sont émises sur la candidature de M. Siby, notamment :
Manque de concertation : Il aurait annoncé sa candidature sans vraiment associer les autres forces de gauche, ce qui peut être vu comme un geste individualiste ou unilatéral.
Personnalisation excessive : Ses supports de campagne centrés sur sa personne sont parfois perçus comme un frein à une dynamique collective. Cela peut nourrir l’idée que la candidature est plus une « affaire personnelle » qu’un projet politique partagé.
Risque de division : Cette posture peut fragiliser la gauche locale, qui a besoin d’unité face à des adversaires souvent bien organisés (droite, centre, voire extrême droite).
—
Pourquoi la candidature doit représenter « la gauche », pas « la petite personne de M. Siby »
Dans une campagne municipale, le candidat n’est pas qu’un simple individu :
Il ou elle est le porte-voix d’une coalition de forces politiques, d’associations, et d’électeurs qui partagent un projet commun.
Il doit incarner une vision politique collective, un programme clair qui dépasse les ambitions personnelles.
Une candidature « imposée » ou trop personnalisée peut aliéner des partenaires potentiels, affaiblir la mobilisation et réduire les chances de victoire.
La gauche locale, comme souvent ailleurs, a besoin d’une démarche démocratique, d’un débat ouvert, et d’une stratégie partagée, pour construire une dynamique solide et crédible.
—
Conclusion
Le communiqué du PCF est un appel à la responsabilité collective : plutôt que de laisser la candidature « s’auto-proclamer », il faut un processus transparent qui fédère les forces de gauche. La candidature doit représenter un projet politique commun et partagé, et non la volonté ou la carrière personnelle d’un seul.
Cela rejoint aussi une demande plus large de la gauche d’aujourd’hui : renouer avec la démocratie interne, la participation et l’écoute, pour éviter les divisions inutiles.
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Une analyse intéressante. Seul bémol, parler d’un article du blog tenu par le maire-adjoint chargé des finances qui discrédite Oussouf Siby. Vous attendiez autre chose de ce blog. Si une autre personnalité de la gauche rentre dans les élections municipales prochaines, ne vous inquiétez pas, il aura le droit au même traitement. 😉
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Oui très belle analyse
C’est un appel lucide à l’unité stratégique de la gauche locale face à une candidature jugée trop centrée sur une personne. Il met en lumière les tensions internes mais propose une issue : la désignation collective et démocratique d’un candidat représentant véritablement un projet partagé.
Bravo @Jean-Jacques
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Si SIBY s’entête et campe sur ses positions, c’est fini pour l’opposition de gauche. Beschizza fait un 3ie mandat les doigts dans le nez
Il portera tout le poids de l’échec et sa crédibilité politique, il devra en tirer toutes les conséquences
Je ne suis pas sympathisant communiste, mais l’union fait la force. Et là il fout toutes les chances d’alternance en l’air.
Pour un petit égo. En réfléchissant bien je me souviens également des propos de Sylvie Billard, et les remarques de Beschizza au conseil municipal…
Un peu d’humilité monsieur Siby SVP, vous faites n’importe quoi par orgueil…
Je suis triste
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Après l’article du blog tenu par le maire-adjoint chargé des finances, d’un autre commentateur le critiquant,, un propos de Sylvie Billard 😉 Monsieur « Sébastien » ou « Henri Perrier », nous verrons bientôt si la stratégie de Oussouf Siby est une erreur ou pas, mais ne prenons pas en exemple des personnes opposées à lui.
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Il partit seul, le regard vaillant, l’épée des promesses à la main… Mais face à la réalité du terrain, le heaume s’est embué
Oussouf Siby en armure brillante, seul au milieu du terrain vague derrière la gare RER,
Son épée est une déclaration de campagne,
Derrière lui, un dragon en carton-pâte symbolisant “l’injustice”,
Et en haut, en lettres dorées : « Les Municipales – Épisode I : Le Chevalier de l’impasse. »
On arrête à la première saison 😅
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Les municipales sont encore loin, il y aura sûrement un épisode 2, voire plus …
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« Les municipales sont encore loin, il y aura sûrement un épisode 2,
voire plus … »
Bah oui pourquoi pas 3, 4 ou 5 tours de scrutins…
On ne sait jamais, sur un malentendu…
Moralité : Quand tu pars à l’aventure, seul sans boîte d’allumettes, bon courage pour allumer un feu qui réunira du monde pour danser autour
—- Les élections Municipales à Aulnay sous bois
L’important c’est la chute…. lol
🎬 >>> https://www.youtube.com/watch?v=E_GLYMPgm6U
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Bien sûr, il ne s’agit pas de tour de scrutin mais des tractations pré électorales entre les diverses composantes de la gauche locale. Jouer perdant serait stupide et mal vu des électeurs qui veulent un changement.
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Tractations ? Ben oui…
Mais elles sont déjà faites… Alea jacta est !
On a réussi à capturer l’image de cette désignation, la démocratie selon le bouclier du chef…
>>> https://lc.cx/V-6-Mp
On connait la fin… César reste César « Veni, vidi, vici »
« Sans haine, sans violence, sans arme et même… sans combattre ! »
>>> https://miniurl.be/r-6c92
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Quand je vois la peine que certains se donnent pour commenter cet article juste pour dénigrer Oussouf Siby je me dis que la jalousie est intense. Il est facile de commenter sous des pseudos, il ne faut pas avoir fait saint cyr pour voir de qui viennent ces msg. Et après ils osent parler d’ego mais il faudrait commencer par se regarder en face. En attendant a l’heure actuelle les seuls qui se bougent et qui tiennent tete au maire et à ses élus se sont Oussouf Siby,Sarah Kassouri et Guy Challier et ce sur n’importe quel sujet ne vous en déplaise.
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@Nauria Kad
Si Oussouf Siby est élu maire, je vous promets de vous inviter tous les mercredis à dîner pendant 6 ans 😄
Et je ne me revendique pas de Beschizza
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