Ici, c’est Paris ! Pas Poissy, Massy ou encore moins Aulnay-sous-Bois !

Notre lecteur fan du ballon rond nous envoie sa vision de l'avenir du PSG suite à notre dernier article à ce sujet :

Il ne faudrait pas occulter le fait, qu'à terme le PSG, décide tout de même de rester au Parc. En réalité tout le monde le souhaite (Le club d'abord, les fans, et la Mairie de Paris)

La piste Poissy semble très compliquée, voire impossible, car on doit attendre en fin d'année 2025 ou début d'année prochaine la décision de Stellantis d'abandonner ce site tout ou en partie. De toute façon la production automobile ne finira pas avant 2028 (DS3)

Puis il faudra l'accord de l’État, de la Mairie et l'avis du Député Karl Olive, si bien sûr il est toujours en poste à ce moment ou tout autre élu au Palais Bourbon, L'ex Maire de Poissy n'y est pas très favorable, car il aimerait une ré-industrialisation du site, des parcs et immeubles d'habitation.

Effectivement tout ceci n'est pas très compatible avec un "PSG Land" et son stade d'environ 90.000 places, les encombrements, l’environnement, etc ...

Alors, il reste quoi ? Massy avec les mêmes contraintes et problématiques, et le risque en plus d'un lever de boucliers de la plupart des supporters très attachés au Parc, lieu originel du PSG  depuis plus de 50 ans et ce potentiel choix n'est pas situé à l'ouest de la capitale !

Un club de football pro, c'est aussi un environnement, un territoire, aucun club de cette envergure n'a déménagé en Europe ou dans le Monde aussi loin de ses bases historiques .

La direction du club finaliste de l'UEFA Champions League 2025 joue-t-elle la montre avant les Municipales 2026 valables pour les trois lieux potentiels : Poissy et Massy et (y compris le stade de la porte d’Auteuil car en cas de changement d'alternance à la Mairie de Paris, car tout reviendrait à la normale, et on aurait plus à se "gratter la tête")...

En effet, à dix mois des élections municipales 2026, une candidate à la mairie de Paris vient de formuler une proposition originale pour convaincre le PSG de rester au Parc des Princes.

Marion Waller, candidate à la primaire socialiste (qui aura lieu le 30 juin) pour les prochaines municipales de Paris, propose de "partager" le Parc des Princes en ouvrant son capital aux supporters parisiens. L'idée ? Que le Parc des Princes n'appartienne plus à la Mairie de Paris, mais aux supporters parisiens, afin de donner envie au PSG d'y rester.

« On pourra ainsi dire au club : vous n’allez pas quitter un stade qui appartient à vos supporters », se projette Marion Waller, qui assume vouloir s'installer dans un "rapport de force" nouveau avec le PSG. Urbaniste de formation, Marion Waller propose aussi de lancer "un grand concours d’architecture" pour le développement du Parc.

Côté supporter : Rester au Parc des Princes, "un sujet primordial" pour Romain Mabille, le président du Collectif Ultras Paris (5000 adhérents)

« Si on savait que c'était foutu à 100 % (et donc que le PSG va partir du Parc des Princes), on serait résignés et pas contents. Mais là, nous, on sait que c'est vraiment possible de rester au Parc des Princes, que c'est possible de l'agrandir, de le rénover. Donc c'est pour ça que nous devons nous mobiliser, des plus jeunes aux plus anciens, aux supporters historiques : on doit tous se mobiliser ! Le Parc des Princes, ça fait partie intégrante de l'histoire du PSG et pour nous, il est important de ne pas quitter le Parc »

On voit ici que l'éventualité du départ du Parc est loin de faire l'unanimité, et que le PSG peut s'attendre à quelques écueils

Des délais incompressibles : Poissy pas avant 2033-2035

Massy ? Pas beaucoup mieux, entre 2030-2035 ?

- On s'excite, on fait des annonces avec quelques erreurs  "PARIS est  GRAND" n’a jamais été un slogan du PSG,  on tire des plans sur la comète, on a même payé un cabinet d'études qui a fait un visuel ne correspondant pas aux normes et au look modernes des stades construits de nos jours, où est le toit amovible ? Et consultation qui bien entendu qui a dû coûter un bras au contribuable, ce pour rien, walou, nada.

Que d'amateurisme et du grand n'importe quoi ! Logique vu que les "tapageurs" qui se sont empressés de bondir à des fins électoralistes sont profanes en matière de football notamment.

De plus, on harcèle le club de courriers, mails, tout ça n'est pas du tout sérieux, il n'y a pas d'autres priorités concrètes, d'autres urgences ? 

- Les blablablas électoraux des uns, les rêves intéressés des autres se heurtent à une réalité, PSG est toujours au Parc des Princes, et le restera encore pour longtemps, au moins quelques années encore*

- L'idée d'un nouveau stade ne se concrétisera pas avant au moins 7 à 10 ans, a indiqué un proche du dossier. La complexité des démarches administratives et juridiques en France impose des délais incompressibles, comme en témoigne l'expérience du Groupama Stadium de l'Olympique Lyonnais. À cela s'ajoutent les imprévus potentiels.

- La Porte de St Cloud risque de vibrer encore  pour un moment...

Mais dans la vie, comme tout est possible...

Sauf dans notre village bien évidement !

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* Le PSG dispose d'un bail sur le Parc des Princes jusqu'à fin 2043

Le Parc des Princes est la propriété de la Ville de Paris. Elle le loue dans le cadre d'un bail emphytéotique à la Société d'exploitation Sports et événements (SESE). Fondée en 1990, celle-ci est historiquement détenue par le propriétaire du Paris-Saint-Germain. Qatar Sport Investment (QSI) en a ainsi pris le contrôle en 2013.

Le PSG n'est donc que locataire des lieux. Le nouveau bail de 30 ans entré en vigueur en 2014 prévoit une part fixe d'un million d'euros par an et une part variable « liée à l'évolution du chiffre d'affaires » du club. Au moment de la signature, la Mairie de Paris espérait voir ce loyer atteindre 3,5 millions d'euros annuels à terme. Le bail comprend également une clause obligeant le PSG à verser une « pénalité financière égale à sept ans de redevance » en cas de désengagement.

 En octobre 2024, les élus du conseil de Paris avaient voté pour un vœu émis par la Maire de la capitale « Nous allons saisir la justice administrative afin de réaffirmer notre volonté de voir notre club à Paris et ainsi renouer le dialogue pour favoriser ses ambitions », a déclaré l’édile. Enfin, Anne Hidalgo a rappelé que la meilleure solution pour satisfaire toutes les parties demeure le « bail emphytéotique »