Le Parisien répond aux questions que beaucoup de voyageurs transiliens se posent.Quelques extraits :
- Suis-je obligé de télétravailler pendant les deux quinzaines des Jeux olympiques ? : Non. Les conditions de trajets vont beaucoup varier en fonction des jours et des horaires de compétition ou de festivités. (...) Si vous habitez ou travaillez à l’est de la capitale, vous devriez être relativement épargnés.
- Quelles seront les lignes les plus chargées du réseau ? Les applications d’itinéraires seront-elles fiables ? : Les lignes 5, 6, 7, 8, 9, 10, 12, 13 et 14, mais aussi les RER B, C ou D, ainsi que certains trams. Encore une fois, cela dépendra des jours et des heures.
- Y aura-t-il assez de vélos pour tout le monde ? : Selon les estimations, il faudra au moins 30 000 vélos de location disponibles cet été pour satisfaire à la demande des visiteurs (qui ne viendront pas avec leur propre engin) et des Franciliens « non cyclistes » mais tentés par le deux-roues durant les Jeux.
- Est-ce que je vais pouvoir me rendre facilement aux aéroports ? : Oui, mais il faudra sans doute anticiper encore davantage si vous prenez l’avion pour partir en vacances. Le RER B sera très sollicité pour les épreuves au nord de Paris.
- Est-ce que je vais pouvoir prendre le bus ? : Bien souvent… non. Le bus est le mode de transport qui sera, de loin, le plus touché par les Jeux.
- Est-ce que je vais devoir payer mon ticket 4 euros ? : Non, à condition de s’organiser à l’avance.
- Est-ce que je pourrai payer et franchir les portiques du métro avec mon smartphone ? : Oui.
- Quel sera le meilleur tarif pour me déplacer pendant les deux semaines ? : Si vous êtes un voyageur régulier, l’achat d’un Navigo mensuel (à 86,40 euros, prix inchangé) est l’option la plus intéressante si vous comptez vous déplacer tous les jours en juillet et en août.
- Est-ce que je pourrai quitter Paris en train le jour de la cérémonie d’ouverture, le 26 juillet ? : Le dernier vendredi de juillet est d’ordinaire l’une des journées les plus chargées sur le réseau ferroviaire national. Or, à ce jour, il est impossible de réserver un billet au départ ou à destination des gares de Paris-Gare-de-Lyon, Austerlitz et Paris-Bercy le 26 juillet. (...) Une communication sur l’ouverture des ventes devrait être faite d’ici à la fin du mois d’avril.