« Je ne pouvais pas rester en Égypte, la fédération faisait n'importe quoi, confie celui qui a obtenu la nationalité sportive française fin 2019. Si je voulais avoir un avenir en lutte, c'était en France. Le club d'Aulnay-sous-Bois m'a fait confiance, puis la fédération avec l'Insep, et maintenant je suis champion du monde. Merci la France ! »
Source : lequipe.fr