Une période de crise sanitaire mal vécue par Lynda, qui estime que ses conditions de travail se sont beaucoup détériorées. Trop pour elle. « Je me voyais entrer dans un processus de maltraitance vis-à-vis de mes patients. Je n’avais ni le temps ni les moyens de m’investir auprès d’eux. Et si à cela, vous ajoutez le manque de reconnaissance… », se souvient, amère, l’ancienne infirmière.
Citation : Le Parisien
Lynda n'est malheureusement pas la seule. Récemment j'ai pu discuter avec une infirmière dont une de ses amies avait quitté son métier pour devenir… Chauffeuse de bus ! Un métier qui lui apportait plus de tranquilité.