D'un côté, le corps médical uni dans sa décision de renoncer à une « escalade thérapeutique » , de l'autre une femme et ses trois enfants qui refusent ce qu'ils appellent "une mise à mort"
Au centre, Jean-Claude Seknagi victime d’un accident vasculaire cérébral et de deux cancers hospitalisé depuis le 6 janvier à l'hôpital Ballanger. Il serait tétraplégique mais d'après la famille ayant encore une certaine conscience et ayant toujours exprimé quand il le pouvait son désir de vivre.
Contactée, la direction du CHI a fait savoir par la voix de son avocat, maître Renan Budet, qu’elle ne commenterait pas une procédure en cours, laquelle implique, qui plus est, le secret médical. Lors d’une première requête déposée par la famille début janvier, le TA a ordonné à l’hôpital de verser 1 500 euros à la famille Seknagi, sans statuer. Par sa seconde ordonnance, il a désigné un médecin expert chargé de lui remettre ses conclusions avant ce lundi 7 mars.
Source: Le Parisien