Le Parisien s'occupe de la santé de nos enfants en ce moment. Après avoir fait un article sur la pollution aux abords de nos écoles en incitant les élus à faire des rues sans voitures aux abords, il nous informe sur les dangers du surpoids et de l'obésité de nos jeunes.
Notre département était déjà en 2014 le plus touché avec un pourcentage de 14,8 enfans touchés alors que la moyenne nationale est de 10,3.
En 2016, un rapport de la Protection maternelle et infantile (PMI) de Seine-Saint-Denis indique un taux de 19,9!
La crise sanitaire est venue s’ajouter à ces problématiques existantes. « La sédentarité a frappé les enfants, ils étaient beaucoup plus sur les écrans et beaucoup moins dehors, rappelle Laurence Guéry, coordinatrice santé au Repop, le réseau pour la prise en charge et la prévention de l’obésité pédiatrique en Île-de-France.
« C’est le département a la plus forte prévalence pour le diabète, qui est un marqueur de l’obésité, ajoute Marie Lafage, directrice de la gestion du risque à la CPAM 93. Et c’est aussi le département le plus pauvre de France métropolitaine, avec des moyens consacrés à l’alimentation qui peuvent être beaucoup plus limités. »
Source: Le Parisien
Malbouffe, excès de sodas, manque d'exercices, problèmes psychologiques sont les ources de cette maladie qui doit être traitée par des personnels formés comme des diététiciens ou des nutritionnistes.