Covid-19

Un an après le début de la vaccination, que sait-on des effets secondaires ?

19 janvier, 2022 à 9:29 | Posté par

La France a lancé, le 27 décembre 2020, sa campagne de vaccination contre le Covid-19. Un peu plus d’un an après, 53 614 352 personnes ont reçu au moins une dose de vaccin au 17 janvier 2022 et 77,9 % de la population a un schéma vaccinal complet.(...)

La majorité des effets indésirables sont attendus et non graves », ajoute Céline Mounier, directrice de la surveillance à l’ANSM. Il s’agit de rougeurs ou douleurs à l’endroit de l’injection, de fatigue, des maux de tête, un peu de fièvre ou encore des troubles gastro-intestinaux.

Si ces symptômes persistent au-delà de quelques jours après la vaccination, alors ils sont considérés comme « sérieux »« C’est le cas lorsque l’intensité de la douleur causée par l’aiguille est forte, ou lorsque le patient développe des ganglions jusque dans l’aisselle par exemple », précise le directeur de recherche à l’Inserm. Et pourtant, cela reste « bénin, c’est sans danger pour le patient », assure-t-il.

Des cas de thromboses, de troubles du rythme cardiaque, de polyarthrites, ou encore de myocardites ont toutefois été identifiés. « Ce sont des événements rarissimes », nuance le vaccinologue, qui ajoute que « cela se produit aussi avec d’autres vaccins ».(...)

« Il y a eu des cas de thromboses veineuses associées à la vaccination qui ont fait des morts », reconnaît Cecil Czerkinsky. À ce jour, une dizaine de cas de thromboses mortelles imputables au vaccin ont été recensés en France. « Ce sont des événements exceptionnellement rares. » Les données recueillies en France et les différentes études conduites à travers le monde sont unanimes : il y a moins de risque à se faire vacciner qu’à être infecté par le virus.

« La balance bénéfice risque des vaccins reste très largement positive », affirme la directrice de la surveillance à l’ANSM Céline Mounier. Une affirmation validée par Cecil Czerkinksy qui ajoute que le vaccin procure « entre 92 et 100 % de protection contre la mort dans les mois qui suivent l’injection ».

Source:ouest-france.fr

Bien sur certains diront que ces informations tirées de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament ne sont que des tentatives de manipulations faites par le gouvernement, les lobbies, voir les francs-maçons.....

Les commentaires sont fermés.