Notre maire, Bruno Beschizza, ancien Président du syndicat Alliance, Secrétaire National à la Sécurité des Républicains et ancien commandant de police de la Police Nationale a voulu faire de notre ville une ville sécurisée. Pour les élus socialistes, la réussite n'est pas au rendez vous, extrait:
- Pour compenser cette baisse, B. Beschizza a augmenté la police municipale de 25%. Pour les aulnaysiens, c’est la double peine : ils participent au financement de la police nationale comme tous les contribuables et en plus, B. Beschizza leur fait supporter intégralement celui d’une police municipale surdimensionnée, la 2ème de France, avec 80 policiers municipaux suréquipés.
- Selon B. Beschizza, la police municipale remplace la police de proximité. Il se trompe. Elle est à ce jour vécue par les habitants des quartiers nord comme une police de surveillance, de répression
- Et qu’est devenu le projet de nouveau commissariat ? L’ancienne municipalité s’est battue de 2011 à 2014 pour l’obtenir. Mais dès 2014, B. Beschizza, opposé à l’implantation prévue, a repoussé le projet, toujours au point mort.
- 322 caméras en 2019, 500 en 2021. La vidéoprotection a son utilité mais aussi ses limites. Les caméras ont sans doute un effet dissuasif mais elles ne limitent pas ou très peu les délits et n’aident à éliminer que 1% à 3% des infractions commises sur la voie publique.
- La vidéoprotection pèse très lourd dans le budget, au détriment d’autres services publics ! 4,5 millions pour les caméras (9 000 € pièce) et 2 pour le centre de supervision, les trafics de drogue et les violences qui en découlent parfois, ne se passent pas devant les caméras.