Hamed et Rachid, deux commerçants qui vendaient des foulards dans la galerie avaient été expulsés sans possibilité de trouver un local dans les nouveaux loués à d'autres moins "ethniques".
Les indemnités offertes n'étaient pas à la hauteur de cette expulsion. Pendant 2 ans, ils se sont battus avec l'aide d'Hadama Traoré pour que la SEQUANO revoie à la hausse leurs indemnités.