Extraits du Parisien:
Dix conseillers
chargés de recevoir le public ont cessé
le travail hier pour obtenir des augmentations de salaire
et un 13
e
mois.PAS DE BANDEROLE ni de piquet de grève à l'entrée. Difficile hier
matin de déceler les signes d'une mobilisation à la Maison de
l'entreprise et de l'emploi (M2E) d'Aulnay
Pourtant, bien des visiteurs s'y sont cassé le nez : « Non,
mademoiselle, votre conseillère ne peut pas vous recevoir, elle est en
grève », répond une employée de l'accueil à une jeune fille étonnée.Il faut dire que jamais la M2E n'avait connu pareille mobilisation.
Une dizaine de conseillers emploi ont cessé le travail, seul moyen
selon eux de faire entendre leurs demandes salariales.Une structure citée en exemple
« Nous avions envoyé deux courriers au directeur, les 25 janvier
et 11 février derniers. Nous n'avons jamais eu de réponse », explique
l'un des grévistes joint par téléphone. La situation pourrait évoluer
ce matin : la direction doit rencontrer les grévistes. Hier, ils sont
restés cantonnés dans une salle de réunion du rez-de-chaussée, les
responsables de l'établissement interdisant aux journalistes d'y
pénétrer. Certes, le mouvement n'est pas massif (10 salariés sur un
total de 80), mais il concerne la quasi-totalité des conseillers
emploi, en contact direct avec le public. Ils réclament 15 %
d'augmentation ainsi que l'instauration d'un 13 e mois. « Les résultats
de la M2E sont salués, nous n'avons pas l'impression qu'ils ont été
redistribués à tout le monde », confie un conseiller. La structure,
subventionnée par la ville, a souvent été montrée en exemple. Installée
depuis six ans en bordure des quartiers nord, prise pour modèle par le
ministère de l'Emploi, elle fut la première à obtenir le label Maison
de l'emploi en 2005.« Que les gens aient des revendications, c'est parfaitement normal.
Mais c'est à l'entreprise de s'occuper de ses affaires », martelait
hier le président de la M2E, Jacques Chaussat, par ailleurs premier
adjoint au maire UMP de la ville. L'élu, lui-même candidat aux
cantonales à Aulnay-Sud,
s'est d'ailleurs dit surpris d'un tel mouvement « à un moment aussi
délicat », faisant allusion au premier tour des élections dimanche.
D'autres candidats et responsables politiques ont rendu visite aux
grévistes hier, parmi lesquels le socialiste Gérard Ségura, tête de
liste aux municipales, le Vert Alain Amédro, et Alain Boulanger,
candidat PRG aux cantonales.Gwenaël Bourdon
15 Réponses à “Le Parisien: Première grève à la Maison de l’entreprise et de l’emploi”
il manque de petites précisions:
ils ont eu deux réponses et sont mieux payés que les autres salairés des missions locales.
ces revendications n’ont jamais été portées par les représentants du personnel qui ne sont d’ailleurs pas en grève.
les négociations salariales étaient ouvertes mais la revendication est utopique car M2E ne fait pas de bénéfices et je ne suis pas sur que le public suivi encore sans solution apprécie. une rencontre avec des jeunes hier soir tournait plutot à » qu’ils nous laissent la place, nous on prend »
l’arrivée de monsieur Segura and Co, AVANT le lancement de cette grève montre que soit il cherchait du travail soit il était dans la confidence. en fait il était dans la confidence depuis la veille au soir. de là à penser qu’il serait opportuniste pour récupérer et même créer une situation en période électorale…
d’autant que chacun comprend que c’est bien à l’employeur de régler son problème avec ses salariés et non aux candidats aux élections. d’ailleurs Jacques Chaussat ne participe pas aux négociaions déja ouvertes justement par volonté de ne pas faire de mélange.
je me demande si nous n’allons pas encore avoir une peau de banane électorale, du genre grève à la gare d’aulnay, grève des éboueurs, pour que monsieur Segura vende sa salade. Quel programme !
A quand un debat entre Mrs segura et Mrs gaudron ou son calife qui voudrait « etre calife à la place du calife » ? Ce sera là l’occasion vos projets respectifs et le bilan de l’équipe sortante, plutot que de balancer des missives d’un blog à l’autre.
Parce qu’oser parler de bilan positif, il n’y a pas à dire, il aurait génial si vous étiez Bouygues ou GTM.
Pour en revenir à hamri et « merci Mrs le maire pour tout ce que avez sur la rose des vents », j’aurais aimé etre eclairé!
Durant ce mandat de 6 ans qu’est-ce qui a été fait sur notre quartier? Pendant 6 ans le maire a été sourd aux nombreux problémes qui lui avaient été exposés; manque de place de parking, état deplorable de la voirie, problemes avec le bailleur, ENORME probleme de fonctionnement de la M2E, insecurité grandissante dans notre quartier, ainsi qu’aux abords de la RN2,prix excessivement cher de l’eau!!!
Alors ui un gymnase a été crée, mais avant tout pour la section boxe du CSL, ui il y a une salle de musculation ouverte aux habitants, le prix ? 200 euros! pour des personnes qui n’arrivent meme pas à payer leur loyer à la fin du mois, vous savez trés bien ce que cette somme represente.
Qu’avez vous fait d’autres à part ce satané PRU derriére lequel vous cachez votre desastreux bilan ?
Vous criez à qui veut bien l’entendre que votre bilan est bon, alors explique moi pourquoi aujourd’hui plus que jamais la ville n’a jamais eu autant de chances de basculer à droite?
Quel a été votre politique de l’emploi sur cesz quartiers, où jeunes et moins jeunes ne cherchent qu’à se lancer dans la vie active, afin de demarrer la leur. Mrs girard affirme qu' »avec 100 000 euros il ne crée pas d’emplois ». Depuis maintenant plusieurs jours des dizaines de chefs d’entreprises installés m’ont dit quils étaient en recrutement permanent, mais que les jeunes n’avaient les formations adequats.
Moi avec 100 000 euros Mrs cannarozzo, je finanace des formations ou des contrats de professionalisation.
Plusieurs jeunes que j’ai rencontré dernierement ont resumé la M2E comme etant un cyber café gratuit où l’on pouvait telephonner et surfer « à l’oeil » comme ils disent.
Il n’y a pas à dire le travail fait à destination des entreprises est bon, quoique ce n’est pour nos beaux yeux qu’ils viennent, mais pour la zone franche et ausii et surtout GRACE A LA SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA VILLE! A1 et A3, la francilienne, 15 minutes de paris, 10 minutes de roissy, et ca vous y etes pour quelque chose peut etre vous et votre equipe????!!!!!
n’en deplaise à Mrs cannarrozzo je trouve votre bilan desastreux notamment sur les quartiers nord et plus particulierement la rose des vents!
Vous qui aimez (des)informer sur les plus de 3000 entreprises in stallées à aulnay, combien sont en franche, et parmi elles combien recrutent-elles locale, comme ce doit etre le cas en zone franche?
je vous connais un peu, et risquez de me repondre « je n’ai les chiffres sous les yeux », prenons donc le temps de trouver l’info, avant de revenir.
ah ui j’ai faillit oublier, vous avez egalement refait la rue edgars degas, à 8 jours des elections, alors qu’elle partait encore des sequelles des emeutes de 99, chapeau!!! au meme titre que de remttre des places gratuites pour lille-lyon au stade de france samedi dernier….mais bon comme vous le pretendez votre bilan est bon, mais les aulnaysiens de sont pas tous duppes…
Je suis représentant de la Région à la mission locale et à ce titre concernée par le bon fonctionnement d’une structure subventionnée par le conseil régional.
Je trouve étonnant qu’une lettre du 25 janvier n’est pas fait l’objet d’une réponse motivée aux salariés qui très majoritairement se sont mis en grève, dans la diversité de leur sensibilité.
Je juge que monsieur Chaussat, président de la structure et premier adjoint, aurait du dès la réception de la lettre engagé le dialogue, et notamment en les recevant.
J’ai trouvé une équipe réclamant le dialogue sociale, motivée dans leur volonté de travailler au service du public,inquiètes aussi sur bien des aspects de leur métier.
Je ne trouve pas judicieux d’opposer les salariés aux jeunes quand on sait le travail que ceux-ci font au quotidien pour ces jeunes, justement.
Je suis favorable par ailleurs à la transparence des revenus de l’ensemble de l’équipe de la M2E qui permettrait de constater ou non les écarts de salaires et voir si les salaires sont également répartis.
Alors, faut-il se désintéresser des conflits parce que nous sommes en période électorale?
J’interviens autant que possible à chaque fois que je suis sollicité et en ce moment les questions du pouvoir d’achat sont au cœur des préoccupations de bien des familles.
D’autre part, pas plus hier que demain, il ne s’agit de faire des promesses démagogiques mais de poursuivre le dialogue, d’écouter, de faire part des inquiétudes.
Ce que j’ai fait auprès de la direction qui a bien voulu me recevoir et je l’en remercie. Je crois que mon intervention n’a pas été vaine, parce que respectueuse de l’ensemble des salariés, sereine, dans une volonté de comprendre et de permettre de renouer un dialogue.
Bien cordialement
Alain AMEDRO
M.Cannarozzo pour un chimiste, je pense que vous êtes un catalyseur pour une réaction lente.
Je préfère les UV comme catalyseur, alors laissé faire et la réaction aboutira à droite sans problème.
M.Gaudron est un bon réactif.
mon cher Alain, votre jugement me semble détaché de la réalité :
1. ils ont eu deux réponses et le dialogue était engagé.
2. 10 sur 80, cela ne s’appelle pas une majorité!
3. le fait que votre collègue monsieur Segura ait été mis au courant hier soir pour être là dès 9h ne plaide pas en faveur d’un conflit sans arrière pensée électoraliste.
4. oui au pouvoir d’achat mais que dire des 65% d’impots régionaux et 45% d’impots départementaux supplémentaires sur ce mandat ? est-ce une nouvelle forme de pouvoir d’achat ?
je pense donc qu’il est plus serein de ne pas s’en mêler en cette période et que ce coup monté par votre collègue, monsieur Segura n’est encore une fois pas digne.
M. Amedro,
votre commentaire me parait surprenant… Votre qualité de representant à la région ne vous autorise pas à exiger la publication des salaires. Seul le personnel est en droit et de sa responsabilité quant à révéler le salaire qu’il perçoit. Même si vous vous passionnez pour la démagogie, vous devez tout de même respecter certaines règles de droit (confidentialité des données, secret professionnel…). A mon sens, la question que l’on doit se poser c’est de savoir si il existe une convention collective et des representants du personnel pour règler ce conflit et ce ne sont certainement pas des élus qui ont vocation et la compétence pour s’immiscer dans une entreprise.
Ce que je trouve regretable comme à chaque fois avec un élu de l’opposition (au demeurant vert et à la représentivité politique limitée), c’est l’exploitation politique qui en est faite avant les municipales. Enfin, je trouve détestable ces pratiques qui n’honorent pas ces élus d’opposition et poussent un peu plus de nombreux aulnaysiens à se desinteresser de la politique.
Qui subventionne la M2E : la ville ou la région ?
Il y a un flou à lire dans le Parisien «La structure, subventionnée par la ville, a souvent été montrée en exemple.» puis, dans le commentaire d’Alain Amédro, « Je suis représentant de la Région à la mission locale et à ce titre concernée par le bon fonctionnement d’une structure subventionnée par le conseil régional.»
Je voulais apporter à mon commentaire une précision c’est en effet une majorité des conseillers emplois qui étaient en grève: 10 sur 13, il s’agit donc d’une certaine catégorie de personnel, comme on dit en pareil cas, et non l’ensemble du personnel de la M2E.
La Région Île-de-France contribue au fonctionnement de 82 missions locales réparties sur l’ensemble de son territoire. En 2006, ce sont 79.017 jeunes Franciliens qui ont ainsi bénéficié volontairement des conseils de professionnels permettant de trouver des réponses adaptées à leur parcours d’insertion tant social que professionnel.
Voilà d’autres précisions sur l’aide de la Région aux missions locales afin de rendre plus compréhensible l’action du Conseil régional dans ce domaine en partenariat avec les communes. Cordialement. Alain Amédro
Subvention à la mission locale d’Aulnay-sous-Bois : MISSION LOCALE D’AULNAY SOUS BOIS 144 570,00 € en 2006, 149 839,00 € en 2007 soit une augmentation de 3,64% en 2007 (chiffres issus du rapport CP 07 1124)
Les missions locales remplissent une mission de service public pour l’insertion professionnelle et sociale des jeunes. Elles ont une double mission :
– accompagner les jeunes dans la construction de leurs parcours d’insertion sociale
et professionnelle en les aidant à résoudre l’ensemble des difficultés qui font
obstacle à cette insertion,
– développer le partenariat local nécessaire à cet accompagnement.
La loi quinquennale de décembre 1993 sur la formation des jeunes a introduit les Régions comme cofinanceur de ces structures, aux côtés de l’Etat, des Communes, des Intercommunalités et, parfois, des Conseils généraux.
Le réseau francilien est composé de 82 missions locales couvrant la totalité du territoire.
Constituées sous forme d’associations ou de groupements d’Intérêt Public, elles sont
toutes présidées par un élu local, Maire ou Maire-adjoint. La Région est représentée dans
chaque conseil d’administration par un de ses élus.
Le partenariat développé entre l’Etat, la Région et l’Association Régionale des Présidents
de Missions locales a permis de mettre en place un protocole précisant les missions de base confiées à ces structures :
– l’accueil, l’information, l’orientation, l’accompagnement ;
– la construction de parcours de formation, l’accès à l’emploi ;
– les actions en matière de santé, d’accès aux droits, de prévention et de justice ;
– la capacité d’expertise et de connaissance de son territoire ;
– l’animation partenariale de son territoire.
Le soutien régional aux missions locales s’inscrit dans ce cadre en distinguant :
– une aide au fonctionnement pour la réalisation de ces missions de base,
– des dispositifs spécifiques par lesquels la Région aide les missions locales à développer leur offre de service dans le cadre de certaines de ces missions de
base,
– un appui au réseau dans son ensemble, destiné à renforcer l’identité du réseau, la
communication entre les structures et l’échange de pratiques.
L’ensemble des financements alloués aux missions locales sont définis et encadrés dans une convention régionale type, délibérée en Commission permanente et signée avec chaque structure.
M. Amedro,
encore une fois, je prends acte de votre volonté de ne pas vouloir accepter de débattre sur le fond de ce dossier (à savoir qu’il s’agit avant tout de la compétence des representants du personnel de la M2E). L’absence de réponse à mon commentaire et à 3 points de M. Cannarozzo témoignent d’une certaine arrogance à refuser une confrontation constructive et démocratique. De plus,votre second commentaire n’apporte aucun éclairage sur votre contribution personnelle à la M2E. Curieux pour un élu qui prétend être attaché au dialogue social et surtout au débat démocratique.
Quel est le statut précis de M2E ? Monsieur Chaussat parle d’une entreprise tandis qu’Alain Amédro parle de « mission locale de service public » et « d’associations ou groupements d’Intérêt Public ».
Dans tous les cas, il s’agit d’une structure citée en exemple et prise pour modèle par le ministère de l’Emploi, première à obtenir le label Maison de l’emploi en 2005. Il y a donc des résultats appréciés.
Si la M2E vendait ses services à des personnes solvables, je ne doute pas que ses résultats exemplaires, mesurables en euros de trésorerie, sonneraient et trébucheraient chez son banquier. Mais si la M2E est un service public à destination de ceux qui ne sont pas solvables et qui cherchent du travail pour le devenir, il est normal que ces services n’aient pas de prix et qu’ils ne génèrent pas de bénéfices.
Je pense différemment de Franck Cannarozzo car je pense que les bons résultats de la M2E méritent une double augmentation de salaire : d’abord au titre du rattrapage de la flambée des prix( car la vie est chère pour tout le monde et pas seulement pour nos élus et nos grands patrons dont les salaires, les frais, les indemnités de départ et les retraites nous éblouissent de milliards de feux ) ensuite au titre de l’efficacité grandissante des personnels. Quand on travaille mieux, on doit gagner plus.
Si ces remarques de bon sens sont utopiques, alors le pragmatisme, c’est la maltraitance du pauvre monde. Et des femmes et des hommes innombrables sont devenus le petit cheval blanc, tous derrière et lui devant, qui est mort sans voir le beau temps, qu’il avait donc du courage.
parlons résultats de la politique emploi sur la ville :
+ 500 entreprises supplémentaires sur le mandat
– 1100 chomeurs depuis 4 ans avec un taux de chomage passé de 15 à 10%
un taux de chomage des jeunes de -25 ans passé de 25 à 16%
ça c’est du concret non les commentaires partisans de certains.
tout est parfait ? non.
on a proposé quoi de plus ?
faire 500 chantiers d’insertion et de proximité par an pour permettre à 500 personnes de reprendre confiance.
faire 500 formations par an pour permettre à 500 personnes pour être en adéquation avec le monde du travail le batiment à coté de l’oréal a été acheté pour ça en 2006 comme quoi on pense longtemps avant les élections).
créer 50 000 m2 de nouvelles activités sur la ville pour créer de l’emploi.
avec nous c’est précis, concret, réaliste.
avec Segura and Co, c’est le festival de la mode… sur que ça va résoudre les problèmes dont nous parlons.
quand à Alain Amédro, que j’apprécie pourtant, son discours est très bien devant une commission mais inefficace dans nos quartiers. cela montre clairement la différence entre les pragmatiques de terrain et les specialistes de la technocratie. devinez lequel des deux résoudra mieux les problèmes !
enfin cette grève est montée de toute pièce pour cacher le vide et le flou du programme de Segura, le champion du « je n’ai rien fait au conseil général, alors je ferais tout comme maire! » à moins que quelqu’un connaisse son bilan …
Cher Franck,
Votre commentaire me chagrine, j’espère sincèrement que ce n’est pas de la panique de la fin de campagne.
Car si vous assimilez l’agitation au pragmatisme de terrain et l’action réfléchie à la technocratie alors je ne suis pas du tout d’accord.
En effet, sans rentrer dans des opinions partisanes, j’ai eu l’occasion de beaucoup travailler avec Alain Amédro sur le problème du vote opaque sur machines à voter. Sur ce dossier, il s’est mouillé personnellement et politiquement sans craindre de se mettre en porte à faux. Il a effectué de nombreuses actions efficaces sans forcément en faire la publicité.
Or, justement, sur ce dossier Alain Amédro se bat contre une technocratie qui a volé un droit démocratique aux électeurs (ce droit de contrôle des élection à été confisqué sans que cela ne vous émeuve d’ailleurs).
Que vous qualifiez de technocrate quelqu’un qui se bat justement contre la technocratie qui fait reculer la démocratie, quelqu’un qui ne fait pas d’agitation inutile et est efficace sur le terrain, me fait tomber des nues et me fait l’impression d’un propos parfaitement démagogique.
Encore une fois, vous avez des propos faux ou imprudents et au regard de ce que vous avez écrit ces derniers jours je ne peux que vous souhaiter un petit peu de repos.
Sans rancune, bonne campagne.
cher Hervé, si vous relisez bien, je n’ai pas dit q’Alain Amedro était un tehcnocrate mais « un spécialiste de la technocratie », qu’il décrit fort bien dans son post. je dis donc que ce discours est imbuvable dans nos quartiers et rien d’autre.
par ailleurs, même si nous nous sommes opposés un certain nombre de fois avec Alain, cela a toujours été courtoisement, je n’ai pas l’intention de changer.
mais vous comprendrez qu’une grève montée à 5 jours de l’élection par deux amis qui travaillent à la M2E mais surtout bons amis de monsieur Segura qu’ils préviennent à l’avance pour faire un coup me fasse vomir. on prend les gens pour des cruches, on croit que tout est permis pour gagner.
perdre ou gagner d’accord mais avec dignité. est-ce trop demander ?
Bonjour.
Apparemment le Père Cannarozzo voit des coups électoraux partout !
Gaudron en est victime via la story du canard enchainé !!!
Mais le PS en serait l’auteur, afin de faire un coup, sur la grève de certains employés de la M2E… .
Cherchez et trouvez l’erreur.
PS : La remise au goût du jour de l’ex avenue de Sarajevo (rue Edgar Degas), le créneau gymnase du mardi soir (Aulnay Futsal) et entre autres les jeux + bancs mis dans les jardins d’enfants des quartiers où il n’y en avait plus depuis belle lurette…tout ceci a été fait à l’approche (+ ou -) des élections municipales.
Pourquoi maintenant (?), alors que les demandes avaient été faites bien en amont (avant) ?
Pour Jadis, on peut citer le collège victor hugo, le cap, etc.
@+.
Issaga.