D'un côté, Stellantis envoie des personnes pour récupérer les outils de travail retenus par les ouvriers de MA France sans en avoir l'autorisation légale, comme l'indique cette vidéo prise par un membre du PCF d'Aulnay-sous-Bois,
De l'autre dans une commission des affaires économiques, Jean-Philippe Imparato, au nom de Stellantis dit être ouvert à toute discussion sur les indemnités de licenciement. (Vidéo ici, lire à partir de 1H 58 )
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