Ces particules ont la taille du Covi-19. Elles ne sont pas réglementées contrairement aux particules plus grosses et pénètrent plus en profondeur dans notre système respiratoire.
Air-Parif vient de faire une première enquête sur ces particules en installant des capteurs dont un près de chez nous, à Tremblay-en France.
Et l’étude tire la conclusion, comme on s’en doutait, qu’en hiver, en Île-de-France, les particules ultrafines sont principalement issues du trafic automobile, puis, dans une moindre mesure, du chauffage au bois. Autre enseignement : on respire davantage de PUF en petite couronne que dans Paris ou dans les zones rurales. « Les sites de Tremblay et Gennevilliers enregistrent ainsi une concentration en nombre de PUF plus de trois fois supérieure à celle du site rural sud », détaille l’étude.
Le niveau est également plus important dans ces deux communes que dans Paris intra-muro500 particules/cm3 d’air contre plus de 9 000 particules/cm3 d’air à Tremblay)
Source: Le Parisien